"SCANDALES MEDICAUX" DE H. DE GOLEN ET ETAT CIVIL 1914-1918
Généalogistes. Un sujet qui reste d’actualité : la mention « Mort pour la France ».
L’ouvrage d’Henry de Golen « Scandales Médicaux » traite entre autres sujets polémiques de l’état civil en 1914-1918 et des problèmes qui se sont posés aux officiers d’état civil militaires et aux maires pour faire appliquer la loi du 2 juillet 1915 relative aux actes de décès de militaires (mention "mort pour la France") survenus dans les milliers de formations hospitalières militaires et civiles.
H. de Golen à travers l’expérience de Robert Dalsenne « son héros », nous décrit par le menu le quotidien, en 1917-1918, du service des décès de l’hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris. Dans ce qui a été décrit comme un « pamphlet-document » où les victimes restent reconnaissables aujourd’hui encore par les familles et sont inscrites sur la base de données « Mémoire des Hommes », l’auteur expose sans fard, les difficultés pratiques, les arguties juridiques nécessaires pour faire enregistrer par la mairie du 5e arrondissement, la mention « mort pour la France » au profit des blessés de guerre décédés au Val-de-Grâce.
Il décrit ses méthodes et sa production de « fausses écritures » pour contourner la loi du 2 juillet 1915. Cette loi mal ficelée qui laissait place dans l’ensemble des 10 000 hôpitaux militaires de France et de Navarre à d’innombrables interprétations, irrégularités et « trafics », en particulier pour les militaires décédés dans la période du 2 août 1914 au 2 juillet 1915. Vaste sujet qui reste d'actualité. Les dossiers de militaires décédés pendant cette période et ne possédant pas la mention « mort pour la France » (environ 95 000 militaires d’après les ACVG) peuvent être, encore aujourd’hui, sujets à des demandes de rectifications d'actes par les familles.
L’ouvrage d’Henry de Golen est éclairant sur ces dérives et son expérience parisienne est malheureusement transposable, en matière de décès de combattants, à des milliers de structures hospitalières de la Grande Guerre.
Légende : Services administratifs d'un hôpital auxiliaire
EXPO LYON 2017 - Rayons X, une autre image de la Grande Guerre
Rayons X, une autre image de la Grande Guerre
Archives municipales de Lyon, 1 place des archives, 69002 Lyon
Entrée libre
du 4 octobre au 23 décembre 2017
mardi - samedi : 13h-18h
TEXTE DES ORGANISATEURS :
« Mêlant sciences, médecine et histoire, l’exposition raconte un moment-clé dans l’évolution de la médecine. Développée suite à la découverte des rayons X en 1895, la radiologie était une technique encore balbutiante à la déclaration de guerre en 1914. Durant les 4 ans de conflit, les médecins ont dû faire face aux nouveaux types de blessures provoqués par l’apparition d’armes nouvelles. La radiologie, menée par des personnalités influentes à l’esprit novateur, eut alors un apport décisif dans la prise en charge des blessés et la réorganisation des soins. A Lyon, ville de tradition hospitalière et riche d’infrastructures civiles, militaires et universitaires, médecins et civils s’organisent en ville hôpital…
Comment la radiologie a-t-elle révolutionné le monde médical ?
Comment s'est-elle constituée en discipline désormais indispensable aux soins médicaux ?
Partez avec les pionniers lyonnais de la radiologie, dans l’histoire des rayons X, de ses applications médicales et de l’imagerie actuellement développée à Lyon et en Région Auvergne Rhône Alpes.
Co-produite par l’association Patrimoine Médecine Santé Lyon, le musée des Hospices Civils de Lyon et les Archives municipales de Lyon, l’exposition réunit entre autres du matériel de radiologie et des radiographies issus de l’exceptionnel fonds Albert Renaud, conservé par le musée des Hospices Civils de Lyon ; les archives historiques des HCL déposées aux Archives Municipales de Lyon ; et bien d’autres objets et documents d’archives, provenant de nombreuses institutions.
Elle a obtenu le label Centenaire 14-18. »
PROGRAMME DES CONFERENCES A DECOUVRIR :
C’est à notre ami le docteur René Van Tiggelen de Bruxelles qu’il revient d’ouvrir un cycle de conférences qui se déroulera jusqu’en décembre 2017...
Mardi 10 octobre 2017 à 18h30
La Grande Guerre de 1914-1918. La radiologie monte au front
Par le Docteur René Van Tiggelen – Conservateur du musée belge de Radiologie
Auteur de La Grande Guerre de 1914-1918. La radiologie belge monte au front, Belgian museum of radiology, Bruxelles, 2011, 144 p.
MA RECLAME :
AMBULANCES 1914-1918 – Lettre X-Y-Z.

LETTRES X-Y-Z
LOCALISATION DES FORMATIONS SANITAIRES DE LA ZONE DES ARMEES (1914-1918).
Ce répertoire est réalisé d’après le fonds de l’état civil aux armées conservé aux Archives Nationales de Pierrefitte-sur-Seine, versements 19860726 et 19860727 (19860726/1 à 19860726/404 et 19860727/1 à 19860727/666), dont le répertoire descriptif a fait l’objet, en 2015, d’une première édition électronique.
– Légende : « lieu de stationnement », « désignation de l’ambulance », « arrivée le », « partie le », « numéro du registre ».
Vous en saurez plus sur cet ensemble documentaire en consultant : Roseline Salmon, "Les registres d'état civil des régiments, 1914-1918", Isabelle Homer et Emmanuel Penicaut (dir.), Le soldat et la mort dans la Grande Guerre, Rennes, 2016, pp. 91-98.
XERMAMéNIL (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 9/15 (30/08/14-03/09/14) : 192.
XIVRAY (Meuse) – ambulance n° 1/64 (02-02/11/14) : 2653.
XIVRY-CIRCOURT (Meuse) – ambulance n° 5/6 (23-29/08/14) : 39.
YPRES (Belgique) – ambulance n° 7/9 (24/10/14-04/11/14) : 2319 ; ambulance n° 1/9 (26/10/14-31/01/15) : 4601 ; ambulance n° 9/9 (26/10/14-27/11/14) : 3873 ; ambulance n° 11/9 (29/10/14-04/11/14) : 3540 ; ambulance n° 2/63 (21-21/11/14) : 9006 ; ambulance n° 2/13 (27-27/11/14) : 9005 ; GBD 18 (02/12/14-13/05/15) : 5063, 5224 ; ambulance n° 6/21 (03/12/14-16/06/15) : 4737 ; ambulance n° 10/6 (14-21/12/14) : 1768 ; ambulance n° 3/38 (15-20/12/14) : 3472 ; ambulance n° 1/16 (01-04/11/14) : 3430 ; GBD 45 (06-06/01/16) : 4954 ; GBD 2 (07-09/10/17) : 3812.
ZILLISHEIM (Haut-Rhin) – ambulance n° 1/66 (19/08/14-18/10/14) : 3858 ; ambulance n° 219 (09/02/19-16/06/19) : 3751, 3767
ZONNEBECKE (Belgique) – GBD 26 (03/12/14-29/07/16) : 4952 ; GBD 39 (11-11/03/15) : 67.
ZUIDHUIS (Belgique) – ambulance n° 8/1 (24/07/17-28/11/17) : 3375.
ZWERBRUCKEN (All.) – ambulance n° 12/9 (09-09/12/18) : 4305.
ZUYDCOOTE (Nord) – ambulance n° 3/38 (02-02/08/15) : 3472.
FIN. Je vous remercie pour m’avoir accompagné fidèlement durant ces années et d’avoir usé de patience pour arriver au terme de cette restitution inédite.
Abréviations : AA (ambulance alpine) - ACA (ambulance chirurgicale automobile) –ambulance n° (ambulance) – AO (armée d’Orient) - DC (division de cavalerie) – DIC (division d’infanterie coloniale) – D. Maroc (division marocaine) – E (Etapes) - GBD (Groupe de brancardiers divisionnaires) – GBC (Groupe de brancardiers de corps d’armée) – HC (hôpital complémentaire) – HCA (Hôpital complémentaire d’armée) - HoE (hôpital d’évacuation) – HT (hôpital temporaire) - L (Levant) - P (Palestine) – PS (Palestine-Syrie) - TS (Train sanitaire) – TSI (Train sanitaire improvisé) - TSSP (Train sanitaire semi-permanent).
Remerciements particuliers à M. Eric Mansuy, à Serge Mouvion et à Hubert Marchant
N’HESITEZ PAS A ME FAIRE PART DE VOS OBSERVATIONS.
Les formations hospitalières de la zone des armées (hôpitaux militaires autres qu'ambulances) font l'objet de longs développements dans le tome 5 des Hôpitaux militaires dans la guerre 1914-1918.
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SCANDALES MEDICAUX, PAR HENRY DE GOLEN - hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com
En 1933, les éditions Maurice d'Hartoy publient un livre d'Henry de Golen : " Scandales médicaux, pendant la guerre" . Le cadre de son action se déroule en 1917-1918, à l'hôpital militaire du ...
http://hopitauxmilitairesguerre1418.overblog.com/2017/05/scandales-medicaux-par-henry-de-golen.html
PARUTION IMMINENTE...
AMBULANCES 1914-1918 – Lettre W

LOCALISATION DES FORMATIONS SANITAIRES DE LA ZONE DES ARMEES (1914-1918). Ce répertoire est réalisé d’après le fonds de l’état civil aux armées conservé aux Archives Nationales de Pierrefitte-sur-Seine, versements 19860726 et 19860727 (19860726/1 à 19860726/404 et 19860727/1 à 19860727/666), dont le répertoire descriptif a fait l’objet, en 2015, d’une première édition électronique.
– Légende : « lieu de stationnement », « désignation de l’ambulance », « arrivée le », « partie le », « numéro du registre ».
La mauvaise photocopie à ma disposition pour transcrire la localisation des ambulances possédait des marges parfois rognées qui ne permettaient pas toujours d’identifier les registres d’état civil.
WACQUEMOULIN (Oise) – GBD 165 (22/06/18-12/08/18) : 3854.
Wacques (Ferme des, Marne) – GBD 14 (27/09/14-23/1/15) : 3087 ; GBD 19 (22/09/16-24/10/16) : 3814.
WAIL (Pas-de-Calais) – ambulance n° 1/5DC (14/07/15-16/12/15) : 4543.
WAILLY (Somme) – ambulance n° 3/151 (14-14/08/15) : 3483.
WALCOURT (Belgique) – ambulance n° 2/38 (24/08/14-01/09/14) : 3034.
WALY (Meuse) – ambulance n° 9/5 (16-16/09/14) : 3691.
WANQUETIN (Pas-de-Calais) – ambulance n° 7/8 (25-25/09/15) : 1697.
WAREGEM (Belgique) –GBD 41 (08-08/11/18) : 38xx.
WARGEMOULIN (Laval-sur-Tourbe, route de, Marne) – ambulance n° 1/17 (09-13/10/14) : 3432 ; GBD 2 (13-13/02/15) : 3812 ; GBD 3 (23/02/15-09/10/15) : 3016-3017 ?
WARLOY-BAILLON (Somme) –ambulance n° 11/17 (22/10/14-26/03/15) : 3542 ; ambulance n° 16/16 (27/04/15-16/09/15) : 4664 ; ambulance n° 7/11, ambulance n° 7/22 (05/12/14-14/04/15) : 3521 ; GBC 11 (21-21/06/15) : 22xx.
WARLUS (Pas-de-Calais) – ambulance n° 13/10 (08-08/1/14) : 4306 ; ambulance n° 8/10 (11-12/10/14) : 79 ; ambulance n° 9/7 (26/09/15-28/10/15) : 4606.
WARMERIVILLE (Marne) – GBC 1CAC (16-16/10/18) : 2436.
WARSY (Somme) – ambulance n° 6/4 (05/11/14-24/12/14) : 2787 ; ambulance n° 2/13 (17/01/15-06/05/15) : 9005 ; GBD 37 (11-11/08/18) : 4327.
WASSIGNY (Aisne) – GBD 46 (05-07/11/18) : 4956.
WASSY (Marne) – GBD 3 (02-02/08/18) : 3793.
WATOU (Poperinge, Belgique) – ambulance n° 3/9 (27/11/14-09/03/15) : 3873 ; ambulance n° 7/9 (10-10/03/15) : 2319.
WATTEBLED (camp de, Marne)–ambulance n° 7/4 (12-12/10/18) : 3519.
WATTWILLER (Haut-Rhin) – AA 304 (28/06/17-25/08/17) : 9909.
WESTVLETEREN (Vleteren, Belgique) –ambulance n° 7/18 (31/10/14-18/12/18?) : 4738 ; ambulance n° 2/153 (17/05/15-27/07/15) : 3868 ; ambulance n° 1/87 (19/06/15-17/02/16) : 3445-3446 ; ambulance n° 1/66 (28/02/16-16/03/16) : 3857.
WEILLEN (Onhaye, Belgique) – ambulance n° 4/1 (17-22/08/14) : 2317.
WESSERLING (Haut-Rhin) – ambulance n° 16/7 (26/06/15-24/11/15) : 3402.
WEST-ROOSEBEKE (Westrozebeke, Belgique) – GBD 41 (06-12/10/18) : 3830, 3832 ; GBD 5 (15-17/10/18) : 5317 ; ambulance n° 14/17 (16-21/10/18) : 4551 ; ambulance n° 5/53 (03-31/1/18) : 4538.
WESTELSEE (Boescheps, Belgique) – GBD 41 (30-30/05/18) : 3831
WESTEN (Belgique) – ambulance n° 1/66 (23-28/02/16) : 3857.
WESTHELSEN (Boeschèpe, Pas de Calais) – GBD 71 (28-28/06/18) : 3183.
WESTOUTER (Belgique) – GBD 41 (24-24/05/18) : 3830.
WETTSTEIN (Orbey, Haut-Rhin) – GBC 51 (23/07/15-12/01/16) : 6069 ; AA 1/75, AA 305 (30/07/15-07/11/15) : 3131 ; AA 2/62, AA 303 (08/09/15-17/12/15) : 3866-3867 ; AA 2/65, AA 303 (27/03/16-19/05/17) : 3867.
WEYMAISON – ambulance n° 12/13 (11-11/11/15) : 2500.
WEZ-THUISY (Marne) – ambulance n° 7/9 (19-19/09/14) : 2320.
WEZ (Poste de secours, de, Marne) – GBD 20 (29-29/11/17) : 3816.
WIELTJE (Ypres, Belgique) – GBD 17 (25/10/14-13/11/14) 5061, 5223 ; ambulance n° 5/5 (27/10/14-24/11/14) : 2704 ; ambulance n° 1/19 (06-06/12/14) : 3540 ; GBD 39 (21-21/01/15) : 67.
WIENCOURT-L’EQUIPEE (Somme) – ambulance n° 4/4 (09-12/09/16) : 2403 ; ambulance n° 9/1 (30/06/16-08/09/16) : 2095.
WIESBADEN (Allemagne) – ambulance n° 3/70 (26/12/18-30/07/19) : 6067
WIFVOEGEN ? (Belgique) – ambulance n° 224 (18/01/18-25/10/18) : 2921-2922.
WILLER (Haut-Rhin) – ambulance n° 5/56 (28/12/15-10/01/16) : 3510 ; ambulance n° 214 (20/02/18-12/05/18) : 5628.
WILLER (Ardennes) – ambulance n° 212 (19/04/16-20/12/16) : 3902.
WISEMBACH (Vosges) – ambulance n° 2/14 (15-17/08/14) : 1083.
WISSEMBOURG (Bas-Rhin) – ambulance n° 216 (09/12/18-13/03/19) : 3210.
WOESTEN (Belgique) – ambulance n° 1/5DC (25-31/10/14) : 4543 ; ambulance n° 16/21 (05-07/11/14) : 3578 ; ambulance n° 7/42 (09/11/14-30/12/14) : 4301 ; ambulance n° 2/20 (25/11/14-24/12/14) : 1194 ; ambulance n° 3/20 (27/12/14-27/01/15) : 1152 ; ambulance n° 1/87 (22/01/15-21/05/15) : 3445 ; ambulance n° 1/152 (27/04/15-20/06/17) : 3184 ; ambulance n° 1/2 DMaroc (27/04/15-31/01/19?) : 3349, 3450 ; GBD 2 (06-06/08/17) : 3812.
WOëVRE (Meuse) – ambulance n° 2/15 (29/02/16-04/03/16) : 5359?
WOLFERSDORF (Haut-Rhin) – ambulance n° 224 (24-24/04/17) : 2922.
WONTERGEM (Deinze, Belgique) – GBC 20 (31-31/10/18) : 3802.
WORMHOUT (Nord) – ambulance n° 9/20 (18/02/15-12/06/15) : 5393.
WORMS (Rhénanie, Allemagne) – ambulance n° 4/53 (15/01/19-28/02/19) : 4521 ; ambulance n° 3/22 (09/01/19-09/02/19) : 4399.
WINGENE (Belgique) –ambulance n° 1/6DC (19-19/01/18) : 3362.
Abréviations : AA (ambulance alpine) - ACA (ambulance chirurgicale automobile) –ambulance n° (ambulance) – AO (armée d’Orient) - DC (division de cavalerie) – DIC (division d’infanterie coloniale) – D. Maroc (division marocaine) – E (Etapes) - GBD (Groupe de brancardiers divisionnaires) – GBC (Groupe de brancardiers de corps d’armée) – HC (hôpital complémentaire) – HCA (Hôpital complémentaire d’armée) - HoE (hôpital d’évacuation) – HT (hôpital temporaire) - L (Levant) - P (Palestine) – PS (Palestine-Syrie) - TS (Train sanitaire) – TSI (Train sanitaire improvisé) - TSSP (Train sanitaire semi-permanent).
Remerciements à M. Eric Mansuy
N’HESITEZ PAS A ME FAIRE PART DE VOS OBSERVATIONS.
Les formations hospitalières de la zone des armées font quant à elle l'objet de longs développements dans le tome 5 des Hôpitaux militaires dans la guerre 1914-1918.
MILEC LE SOLDAT MECONNU

Le témoignage d’Emile Madec (1891-1917), caporal infirmier au 19e régiment d’infanterie de Brest vient de sortir en librairie.
Source éditeur :
"LE LIVRE
L’ouvrage regroupe les carnets de guerre d’Émile Madec, de nombreux extraits de sa correspondance avec sa marraine de guerre, sa famille, ses amis, ainsi que quelques dessins et aquarelles qu’il a réalisés au front. Les textes et documents visuels sont établis, présentés et annotés par Soizick Le Pautremat qui signe également le prologue de cet ouvrage préfacé par l’historien Nicolas Beaupré et enrichi d’une soixantaine de documents visuels inédits. »
L’AUTEUR
Soizick Le Pautremat est née le 12 janvier 1947 à Plouguenast (Côtes d’Armor). Elle vit à Port-Louis, dans le Morbihan. Elle est professeur agrégé d’histoire-géographie en retraite. En 1968, elle reçoit, de sa grand-tante Françoise Madec, les carnets de guerre, dessins, aquarelles et derniers effets personnels de son grand-oncle Émile Madec, dit «Milec», né le 24 juillet 1891 à Pont-Aven et mort pour la France le 7 mai 1917 lors de la bataille du Chemin des Dames. Persuadée que ces carnets pouvaient être utiles, qu’ils viendraient compléter les souvenirs contenus dans les «Cahiers du 19e R.I.» et apporter une autre vision de la guerre, celle d’un infirmier, elle décide de les publier.
Mon ambition est de montrer, à partir de l’exemple d’un caporal infirmier, que ces hommes soignants ont encore des informations, non négligeables, à nous apprendre sur cette guerre et qu’ils ne sont pas, comme je l’ai lu «les embusqués des tranchées». Mon travail de mémoire se double alors d’un «devoir de connaissance», selon l’expression de François Bédarida, pour aboutir à une reconnaissance de ceux que je nomme les «soldats méconnus». Émile Madec n’était pas seulement un Poilu : artisan comme son père, il était aussi artiste de formation, soldat infirmier par choix et humaniste de culture."
Titre : Milec le soldat méconnu
Auteur : Soizick Le Pautremat
Préface : Nicolas Beaupré
Format : 16 x 24cm
Éditeur : Vagamundo
Nombre de Pages : 352
ISBN : 979-10-92521-19-1
MA RECLAME :
UN CHIRURGIEN MILITAIRE FRANCAIS PRISONNIER A MUNICH, EN 1916, TEMOIGNE...

"[p. 23] Un hôpital allemand - En arrivant au "Reserve Lazarett B" à Munich, je retrouvai deux de mes confrères que j'avais connus au camp de Lechfeld, les Drs Blin et Juif, désignés pour être internés en Suisse pour cause de maladie. Ils partirent en effet six jours après mon arrivée (1er mai) et j'appris un peu plus tard qu'à Constance ils avaient faits demi-tour et qu'on les avait renvoyés au camp de Lechfeld.
Le Reserve Lazarett B est installé dans les locaux de la "Kriegschule" qui se trouve être à Munich l'équivalent de notre école de Saint-Cyr. Le grand bâtiment, admirablement installé, est occupé par les Allemands qui couchent par chambres de deux ou de quatre. Les blessés ou malades français occupent une ancienne salle de gymnastique, longue de 80 m environ, qui prend joue par de grandes baies, mais est plus aérée ; ces baies n'ouvrant qu'en partie. Elle est bien chauffée l'hiver par des radiateurs à vapeur et éclairée le soir par quatre grosses lampes à arc. Là sont déposés surtout les malades venant des camps de la région, et les blessés légers. Une seconde salle (ex-salle d'escrime) un peu moins grande que la première, est réservée aux Russes ; et une troisième, installée dans une baraque en bois et ne contenant que 30 lits est utilisée pour les seuls grands blessés ou les opérés. Comme il n'y a pas de chambre pour les officiers, ceux-ci sont logés dans cette 3ème salle. Il y a en tout environ 200 lits, presque tous occupés en tout temps.
Les lits utilisés sont du type militaire ancien, avec deux paillasses assez bonnes ; les malades graves ont un matelas. Chacun a deux couvertures installées à l'allemande dans un sac, un drap, et un traversin plat. Une petite table à côté de chaque lit. Comme linge, on donne au malade une chemise, un pantalon et un paletot de toile, et une serviette.
[p. 24] Le personnel se compose :
1) d'un chirurgien en chef, Dr Krecke, homme jouissant à Munich d'une grosse réputation (hofrat*), opérateur adroit mais lent. Il est très allemand, mais tient à ce que son service fonctionne. Il vient plusieurs fois par jour se rendre compte si tout marche bien.
2) d'un oberarzt (aide-major) Dr Pitzner, homme très dévoué aux Français, ayant presque toujours vécu en Italie et ne cachant pas ses préférences pour la culture latine. Il est spécialement chargé de la direction des salles françaises et des soins à donner aux grands blessés, ce dont il s'acquitte avec conscience. Il opère soigneusement et comme tout allemand avec lenteur.
3) d'un médecin auxiliaire, Von Miller, correct pour les Français, parlant bien notre langue et ayant déjà rendu, par les grosses relations qu'il a à Munich, quelques services aux prisonniers. Très allemand, malgré tout.
4) d'un second médecin auxiliaire, Baretz : un imbécile ne sachant rien. Il ne s'occupe que des Russes.
5) Quelques infirmiers allemands se trouvent là, pour la forme seulement. En effet, la guerre ayant nécessité le départ au front de nombreux sanitaires, le Prof. Heine qui dirigeait le service avant mon arrivée, remplaça les Allemands par des Français. Changement très heureux, dont ne peuvent que se féliciter les malades et les blessés, qui sont tout joyeux en arrivant du front, de trouver là des Français qui les accueillent gaiement, les réconfortent, et les soignent de tout leur cœur.
Je considère comme un devoir de signaler aux Autorités le dévouement tout spécial de quelques-uns de ces infirmiers improvisés, et de les proposer si possible pour des récompenses qu'ils ont largement méritées.
I - Voiry (Maurice) étudiant en pharmacie, sergent d'un régiment ou Toul ou de Nancy, atteint de trois blessures dont une très [p. 25] grave, resté à l'hôpital pour y soigner ses compatriotes. C'est lui qui fait tous les pansements, avec un jugement médical curieux chez un profane, et qui s'occupe de la stérilisation des instruments. Il donne de sa personne jour et nuit près des opérés et des grands blessés, au point que j'ai dû à plusieurs reprises lui ordonner de se reposer. Il a su s'imposer aux médecins allemands et grâce à son autorité servir heureusement de tampon entre les malades et le personnel allemand.
II - Gérouff, tapissier, originaire de Nancy et appartenant à un régiment de cette ville, chargé plus spécialement des soins à doner aux malades de la grande salle, et s'en acquittant parfaitement.
III - Castellas (Hippolyte-Marino) d'un régiment de Toulon (112e de ligne) je crois, qui dans plusieurs occasions s'est révélé comme un infirmier parfait. Au début de sa captivité en Allemagne, s'est lui-même désigné comme infirmier volontaire au cours d'une épidémie de typhoïde et est tombé malade. A voulu revenir en France comme infirmier, mais n'ayant pas de papiers, ne put obtenir cette faveur**.
Je ne cite que les plus méritants.
Un aumônier allemand est attaché à l'établissement, Dr Glas. Je ne sais de quelle région de l'Allemagne il vient, ni qui il est, mais il parle français absolument sans accent et connaît admirablement beaucoup de petites communes situées non loin du front. Il parle avec volubilité, entraine dans la conversation les soldats, et très habilement les questionne. Il fait les courses en ville. J'ai mis tous les nôtres en garde cotre cet homme si poli et toujours si serviable.
Un autre personnage, bien plus louche, c'est le censeur de la correspondance, nommé Aufsesser, commerçant à Munich. Il a son bureau à l'hôpital et censure avec une régularité qui ne dépend que de son bon plaisir toutes les lettres adressées aux prisonniers en traitement. Il essaie surtout de faire recommander par ceux chez lesquels il soupçonne de hautes [p. 26] relations, des prisonniers allemands en France, plus ou moins méritants. Je me souviens qu'il a fait un jour recommander le fameux Geissler, de l'hôtel Astoria. Heureusement les parents du prisonnier qui dût écrire cette lettre éventèrent la supercherie. Si on n'accède pas à ses désirs, la correspondance comme par enchantement n'arrive plus. Je ne fais que signaler le fait, afin que l'autorité ne tienne jamais aucun compte de recommandations venus par la correspondance des prisonniers. Toutefois les prisonniers français en traitement à l'hôpital de Munich le supportent avec patience, car c'est encore un des meilleurs. Il ne limite pas le nombre des lettres à écrire, ce qui est incontestablement appréciable. La limitation de la correspondance est une des choses dont le prisonnier souffre le plus.
Une autre chose désole les prisonniers : c'est la retenue que fait l'Allemagne sur la valeur qu'un mandat français prend en Suisse. Exemple : un mandat de 10 francs, passant par la Suisse, arrive en Allemagne avec une valeur de 10 mark 75 (approximativement). L'autorité allemande ne paiera là-dessus au prisonnier que 8 mark 10, comme en temps de paix. Elle empoche la différence.
L'hôpital est dirigé par un vieux généralarzt sans autorité, mais qui n'est pas un méchant homme.
Les prisonniers reçoivent de temps en temps la visite de nobles étrangers. L'es reine de Naples leur apporte fréquemment des livres, des images. Un envoyé de la Croix-Rouge de Berne, M. Schneeli, qui a pu obtenir de l'autorité allemande des promenades en ville pour les blessés et malades convalescents "à la condition, nous fut-il dit, que le gouvernement français agisse de même." M. Schneeli, quoique de tendances nettement germanophiles s'occupe beaucoup des malades, et particulièrement des blessés graves et des tuberculeux. Grâce à lui, beaucoup de ces derniers ont pu passer en Suisse. La commission suisse qui parcourt les camps et les hôpitaux [p. 27] accepte très difficilement les malades qui lui sont présentés. J'ai vu des malades très atteints, présentés par les médecins allemands, être refusés par la commission suisse, avec une explication de ce genre : "Vous vous plaignez d'être malade ? Estimez-vous donc heureux de n'être pas mort". Il faudrait que la Suisse n'envoyât pas dans les camps allemands que des médecins germanisants. J'en reviens aux promenades : ces promenades ont lieu par groupes de 10 à 12 soldats, ou 2 ou 3 officiers, qui visitent les jardins, les musées, avec grand intérêt, e qui surtout trouvent ces changements d'air agréables et profitables. Ne pouvant marcher, je ne suis sorti qu'une fois dans les rues de Munich pendant mon séjour à l'hôpital. La ville est encore animée, mais je n'y ai plus vu autant de soldats que quand j'y étais venu, quelques mois auparavant, pour y consulter un dentiste. C'est tout ce qu'on y peut remarquer. La population n'est pas hostile ; elle est plutôt curieuse. Mais elle ne reconnait pas toujours le soldat français qui pour elle doit avoir un pantalon rouge. Elle le prend le plus avec son uniforme bleu, pour un autrichien.
L'alimentation est simple. Matin : café au lait ou soi-disant tel. Midi : soupe, viande, légume. La viande est souvent remplacée par du poisson ou par du pain frit (3 fois par semaine au moins). Le légume consiste en pommes de terre à l'acide acétique mêlées à de la salade. Le soir : fromage ou saucisse. Comme ces diverses choses, données en quantité faible, sont le plus souvent indigestes. Ces français se nourrissent avec les colis que leur envoient leurs familles, et avec les biscuits de la Fédération nationale, qui leur sont distribués par un comité dont je me suis beaucoup occupé là-bas.
Tel est dans son ensemble le Reserve-lazarett B de Munich. Les différents services ont l'air d'y marcher avec régularité, quoiqu'en général les médecins allemands de l'intérieur soient paresseux ou noceurs, et [p. 28] trouvent peu de temps pour faire leur service. Comme il m'était formellement interdit de m'occuper des malades, je ne les voyais que le soir, quand tout le personnel était parti. Cependant mon titre de chirurgien des hôpitaux me valut d'être invité à assister à quelques opérations, et même (exceptionnellement) à donner mon avis.
Le service de radiographie est bien installé, sans luxe, mais pratique.
Les salles d'opérations sont bien aménagés (une septique - et une aseptique).
De la Technique opératoire, peu de choses à dire. Les chirurgiens allemands emploient tous la même instrumentation, beaucoup moins pratique que la nôtre. Ils n'emploient jamais l'aiguille de Reverdin, et perdent aussi beaucoup de temps. Leur pince kleme [klemme] grossière et dure, ne vaut pas la pince de Kocher dont nous nous servons. Les ciseaux, pointus, ne sont pas pratiques. Pour la chirurgie des os, ils ignorent le davier de Farabeuf. Pour les fractures ils emploient des appareils d'un autre âge. Bref, ils ont voulu ignorer la chirurgie française. Tant pis pour eux.
Ils opèrent lentement, avec un soin minutieux. Jamais ils ne touchent avec les doigts (il est vrai qu'ils ne peuvent plus avoir de gants de caoutchouc). Ils disséquèrent tout entre deux pinces, lentement, lentement, comme pour une préparation anatomique. Pour une hernie, ils passent une heure et demie ; pour une appendicite sans adhérences, une heure. Ils sont un peu plus rapide pour les amputations, et semblent bien connaître leur médecine opératoire. Je parle là, bien entendu, des chirurgiens de carrière, dont les noms sont connus à Munich.
Pour l'anesthésie, Krecke emploie l'éther, qu'il fait donner avec le petit masque à chloroforme. On arrive ainsi à dépenser facilement de 5 à 600 gr. d'éther pour une opération ! Les vapeurs se répandent dans la ville et incommodent les aides et l'opérateur.
[p. 29] Voilà, très largement esquissé, l'hôpital et son fonctionnement. J'ai pris là-bas des notes, qu'il eût été intéressant de rapporter. Je n'ai pu leur faire passer la frontière. Mais je reçois au dernier moment des parents d'un prisonnier resté là-bas, la nouvelle que l'hôpital va être transporté dans une petite localité à quelques kilomètres de Munich, probablement avec tout son personnel.
Le 1er octobre 1916 je quittai le Réserve Lazarett B pour être - enfin - rapatrié. (…)".
Notes :
* conseiller.
** Plusieurs milliers d'autres prisonniers de guerre, devenus pas Devoir "infirmiers de circonstance", n'auront pas le même sens du dévouement, ni le même sens de l'honneur que Castellas, en falsifiant leurs papiers militaires et en s'attribuant - avec la complicité du gouvernement français - la protection des conventions internationales sur les personnels sanitaires. Le subterfuge, connu des Allemands, de ces militaires appelés "infirmiers usurpés" compliquera l'échange via la Suisse des véritables sanitaires. On pourra lire bientôt sur ce thème : Scandales Médicaux d'Henry de Golen (éd. Giovanangeli, 2017).
*** camp de la faim.
Sources :
Arch. Musée du service de santé des armées, Val-de-Grâce, Paris, cart. 637, dos. 13. Rapport ms. Langlet, 31 p., transmis le 16 nov. 1916 par le directeur du service de santé de la 6e région militaire au sous-secrétariat d'Etat au service de santé militaire.
Sur les combats de Xivry-Circourt d'août 1914 et l'organisation du service de santé de l'armée allemande en 1914-1918, sur ce blog :
SCANDALES MEDICAUX, PAR HENRY DE GOLEN
UNE EDITION 1933 DEVENUE INTROUVABLE
UN AUTEUR MYSTERIEUX
La guerre de 1914-1918 à Paris, bien éloignée du front...
SCANDALES MEDICAUX pendant la Guerre
Par Henry de Golen
« Mémoires d’un infirmier usurpé, Val-de-grâce, 1917-1918 ».
Robert Dalsenne, prisonnier de guerre, libéré comme « infirmier usurpé » d’un camp de représailles allemand en Russie Blanche, se retrouve « embusqué » à la 22e section d’infirmiers militaires du fort de Vanves, avec comme objectif de ne pas repartir au front. Il déniche, après maintes interventions, la fine planque au « service des décès » de l’hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, où cet observateur de l’âme humaine trouve matière à se documenter. Au Val-de-Grâce, à son niveau subalterne plus ou moins informé, rien ne lui échappe : entre les luttes de pouvoirs de chefs de services, la fabrication de fausses mentions d’état civil, les erreurs de diagnostic, les « essais thérapeutiques », le camouflage au long cours d’embusqués, l’assistance aux familles dans la détresse, la « panique » des évacuations sanitaires de 1918 et l’impéritie du commandement, etc. Le quotidien du dépôt mortuaire de l’hôpital militaire du Val-de-Grâce, en 1917-1918, vécue par Robert Dalsenne, est bien éloignée de ce que l’on peut lire par ailleurs sur cette période, où chacun, à sa place, fit son devoir…
L’auteur, Henry de Golen est le nom de plume d’Henri Commenge (1882-1944) un homme de lettres parisien qui s’essaya, entre-deux-guerres, au théâtre, au cinéma, au journalisme… Mais ce fut dans le «roman populaire» que ce véritable «touche-à-tout» se révéla, comme un « petit maître » de l’intrigue sentimentale et policière, auteur de dizaines de romans « à cinq sous». Inconnu, encore aujourd’hui, Henry de Golen s’afficha volontiers, tout au long de son existence, comme un homme de l’ombre, un activiste politique au profil insaisissable. Membre de l’Association des écrivains combattants, il était viscéralement attaché à un « héritage » combattant, dont il défendit les intérêts comme journaliste.
SUIVRE - FORUM 14-18 : LE COIN DU BIBLIOPHILE...
LES AMBULANCES DE LA 40e D.I. A XIVRY-CIRCOURT (22 AOUT 1914) – 2e Partie
La première partie des « ambulances de la 40e D.I. à Xivry-Circourt » pose dans son introduction la situation de la 40e DI dans la bataille et traite des formations sanitaires constitutives de cette grande unité du 6e corps d’armée. Elle s’appuie ensuite sur le rapport du docteur Langlet pour suivre les vicissitudes de l’ambulance n° 5/6.
Cette deuxième partie présente le rapport de retour de captivité du médecin major (active) Paul Corbel (1882-1961), médecin chef de l’ambulance n°5/6. Il complète celui du docteur Langlet (1ère partie) jusqu’à leur arrivée au camp de prisonniers d’Ingolstadt. A son retour de captivité le docteur Corbel fut envoyé à Salonique, à l’armée d’Orient (1915-1918), pour y prendre le commandement de « l’ambulance nouvelle du corps de Serbie » qui fut engagée dans les opérations offensives d’octobre-novembre 1915 sur le Vardar. Nommé médecin major de 1ère classe (commandant, active) il fut attaché comme « médecin adjoint » - chef de cabinet – au médecin inspecteur Ruotte, chef supérieur du service de santé de l’armée d’Orient, à Salonique. Paul Corbel termina sa carrière au lendemain de la Seconde guerre mondiale comme médecin général.
L’ambulance 5/6, de la mobilisation au 22 août
"Parti le 2 août 1914 à 6 heures 20 du 5e régiment d'artillerie à pied (Verdun) porteur d'un ordre de mobilisation individuel me nommant médecin chef de l'ambulance n° 5 du VIe corps. j'ai rejoint par voie ferrée avec mon cheval et mon ordonnance le camp de Chalons à 13 heures.
Du 2 au 4 août j'ai reçu le personnel et le matériel de mon ambulance :
Personnel :
Corbel - Médecin major 2e classe d'active
Chazal - aide-médecin major Ière classe de la territoriale
Martz - Médecin aide major 2e classe de réserve
Chopinet - Médecin aide major 2e classe de réserve
Langlet - Médecin aide major 2e classe de réserve
Dogny - Médecin aide major 2e classe de réserve
Vagnante - Pharmacien Aide major 2e classe de réserve
Wiclet - Officier d'Administration 2e classe de réserve, gestionnaire
Cassille - Officier de 3e classe de réserve d'approvisionnement
[p. 2] 2 sous-officiers ; 46 Infirmiers (deux qui devaient rejoindre n'ont jamais rejoint).
Matériel : réglementaire à l'exception d'un fourgon S[ervice]. S[anté]. remplacé par une lourde voiture de réquisition.
Départ de Mourmelon, le 4 août 1914 à 3 heures et demi par voie ferrée - Arrivée à Saint-Mihiel à 11 heures, l'ambulance rejoint, par la route Beaumont par Apremond.
A Beaumont, elle est cantonnée avec l'ambulance n° 2 (Médecin major de 1ère classe Dettling et le groupe de brancardiers divisionnaire n° 40 (Médecin major de 1ère classe Ferrand qui, plus ancien, devient chef du groupe sanitaire de la division).
Du 4 août au 22 août, concentration et marches d'approche, l'ambulance n'a [pas] eu l'ordre de s'installer. Dans les cantonnements, les exercices réglementaires d'instruction du personnel ont été répétés de nombreuses fois (montage de tente Tortoise, arrimage des voitures, exploration des paniers , distribution du service, etc.).
Le 21 août au soir, le commandement prévient que les avants postes de la division ont eu un engagement et que la bataille peut être imminente, néanmoins on ne bivouaque pas (cantonnement d'alerte et Amermont de 22 heures à 3 heures du matin).
[L’ambulance 5/6 en position d’attente, « sur roues », à Xivry-Circourt]
Le 22 août, après une matinée d'attente en réserve et alors que le bruit continue et proche du canon nous annonce un engagement important, nous atteignons Xivry-Circourt [Meurthe-et-Moselle] vers 11 heures avec l'ordre de rester sur roues ; le groupe sanitaire est au complet - A deux heures la canonnade est bien plus proche ; quelques chasseurs à pied couverts de poussière et de sang arrivèrent au village [p. 3] : le combat est très meurtrier pour nous et les allemands avancent
- Vers 15 heures le médecin-major de 1ère classe Ferrand chef de groupe, fait dire au médecin major Dettling (qui me transmet) qu'il reçoit l'ordre du médecin divisionnaire de partir à la recherche des blessés sur le terrain avec son groupe de brancardiers ; que l'ambulance n° 2 doit s'installer à Xivry ; que l'ambulance n° 6 doit attendre d'autres ordres ; qu'il faut envoyer l'agent de liaison prévu pour le médecin divisionnaire de la côte 360, en avant du village de Joppécourt. J'envoie le brigadier du Train.
Il revient vers 4 heures 1/2 sur une monture fatiguée me prévenir qu'il n'a pu rejoindre malgré ses efforts, le médecin divisionnaire ; un officier d'état-major, lui a enjoint de faire demi-tour avant la cote 360 d'où, disait-il, le médecin divisionnaire était certainement déjà parti, sans qu'il puisse indiquer la situation actuelle de notre chef.
La bataille avance sur nous ; des obus tombent à notre hauteur. L'ambulance 2 reçoit ses blessés dont le nombre croît très vite, si bien que le médecin major Dettling me donne l'ordre d'aller reconnaître un emplacement favorable à mon installation qui lui paraît devoir être [à bref] nécessaire. A mon retour Je lui fais part de mes inquiétudes au sujet de l'évolution du combat, du sort des formations et des blessés, d'après les renseignements de soldats en retraite et de paysans, il est également très perplexe, n'ose me donner l'ordre de m'installer ; mais ne me laisse pas partir. Il semble même d'après ce que me répétèrent des infirmiers dignes de foi, que J'aie à ce moment insisté et discuté avec assez de ténacité [p. 4] pour que notre conversation ait été entendue, sans que je le sache par des tiers. Quoiqu'il en soit, vers 6 heures, Monsieur le médecin-major Dettling fait plier bagages à sa formation, aidé par notre personnel, qui charge quelques blessés sur nos propres voitures - Des blessés qui arrivent alors nous préviennent que nos hommes [nous sommes] entourés. Vers 6 heures 1/2 soir, arrive l'ordre du médecin divisionnaire de nous replier. Comme toujours jusqu'alors j'ai reçu communication de cet ordre (sans le voir toutefois) par le médecin major Dettling. On m'a dit depuis (Abbé Bouche, infirmier ambulance 5) qu'il était daté de 4 heures et que le porteur, un cycliste, était resté tapi dans un bois au moins 2 heures. Ce cycliste nous dit alors que nous étions cernés et fut d'ailleurs fait prisonnier. Mais un officier de chasseurs à cheval arrivant, avec une patrouille dans le village, nous affirma que la route de Réchincourt était libre. Le médecin-major Dettling et l'ambulance n° 2 démarrèrent les [premiers] et mon ambulance suivit. J'étais resté à l'arrière pour m'assurer que le colonel du 161e, blessé, avait bien été placé dans une voiture et non laissé dans une maison. Je m'apprêtais à rejoindre ma monture, tenue en mains, à la tête de la formation, lorsqu'une fusillade très voisine éclata en arrière de nous et sur la droite - désordre immédiat dans les attelages dont quelques-uns doivent être atteints. Je cours en avant pour rejoindre mon cheval et essayer de remettre de l'ordre, mais plusieurs fourgons de l'ambulance n° 2 emballés reviennent sur nous ; un attelage s'abat en travers de la rue à l'extrémité du village. J'essaie de monter sur un fourgon mais l'attelage nous projette contre un mur et à ce moment il semble bien que l'on tire de tous côtés, l'obscurité ajoute à l'affolement des quelques conducteurs [p. 5] qui d'ailleurs ne tiennent aucun compte des ordres que je crie à leur passage ; il est à remarquer que la rue s'est vidée presque instantanément et en très peu de minutes. Je me trouve seul sur la chaussée avec l'aide-major de 2e classe Langlet de mon ambulance ; à droite, à gauche et en avant des fourgons renversés et l'on tire encore, mais probablement plus sur nous, puisque nous pûmes faire à découvert quelques mètres sans être atteints vers les maisons où se trouvait l'ambulance n° 2.
[Prisonniers à Xivry-Circourt]
En atteignant un fourgon renversé près de l'entrée du village (côté Landres) nous vîmes surgir du côté opposé des casques à pointe qui après quelques menaces de baïonnette comprirent mes quelques explications en allemand : les mains hautes on nous fouilla et alors au milieu des cris des blessés, ce qui nous fit penser que quelques-uns furent tués et à la lueur de l'incendie d'une grange, nous vîmes surgir de partout des soldats allemands poussant vers nous des infirmiers, des blessés, des civils sortant de toutes les maisons. Poussé moi-même dans une grange, j'obtins très rapidement d'un officier allemand dont j'avais demandé la venue, la cessation de la fusillade qui semblait continuer ça et là sur les maisons.
Il me demanda d'affirmer qu'il n'y avait dans le village que des sanitaires et des blessés, prétendit sans trop Insister qu'on avait cependant tiré d'une maison et m'autorisa à rejoindre les deux maisons ou se trouvaient des blessés. On m'y amena des camarades découverts dans les maisons du village. La nuit se passa en pansements, Je pus obtenir de circuler à la recherche de mon matériel : [p. 6] Les voitures étaient en partie pillées, mais un haut officier (colonel ou général) auquel j’expliquai dans la rue ce qu'étaient les voitures, mis des factionnaires avec une consigne qui m'apparut de nature à sauvegarder mon matériel. J'obtins également du café pour les blessés au petit jour, néanmoins, parqués dans deux maisons, nos blessés dont le nombre dépassait deux cents, furent très malheureux jusqu'à l'arrivée de l'ambulance allemande dont la venue me fut annoncée par le generalarzt du XVIe corps allemand qui nous visita avec beaucoup de correction le 23 à 8 heures et me fit restituer des infirmiers, enfermés la nuit dans une grange. Malheureusement il arriva trop tard pour empêcher le départ, survenu à 7 heures des deux officiers d'administration de l'ambulance n° 2 et d'un certain nombre d'infirmiers avec des soldats et des officiers légèrement blessés. Il me promit de faire son possible pour me renvoyer le personnel nécessaire.
La matinée se passe à rechercher des blessés : le médecin aide-major Chopinet, parti explorer le secteur, village de Preutin, me ramène deux de nos infirmiers grièvement blessés et rapporte que des fourgons éventrés gisent sur la route à un kilomètre du village. J'obtiens également d'un officier qu'on ramène devant l'ambulance les voitures éparses dans l'après-midi arrive le feldlazarett n° 5 du XVIe corps allemand et aussitôt l'aspect de notre ambulance change, l'officier allemand qui, pour des motifs de surveillance avait, malgré mes protestations parqué mes blessés dans deux petites maisons, est délogé de son propre domicile et l'ambulance allemande s'installe convenablement. On lui trouve la paille qu'on m'avait impitoyablement refusée, nous concourrons de notre mieux à l'installation et nous recevons en partage [p. 7] quelques maisons où nous travaillons entre nous et avec notre matériel, à assurer à nos blessés les soins les plus urgents.
Le lendemain matin 24 août je présente au Chefarzt allemand (oberstabarzt : médecin major de 1ère classe) le personnel qu'il m'avait prié de rassembler :
Officiers :
Corbel - Médecin major 2e classe active, ambulance n° 5.
Kahn - Médecin aide major 1ère classe de réserve, ambulance n° 2
Legler - Médecin aide major 2e classe, active, groupe de brancardiers 40e division d'infanterie
Massoneau - Médecin aide-major 2e classe, active, 154e régt d'infanterie
Chopinet - Médecin aide major 2e classe, réserve, ambulance n° 5
Langlet - Médecin aide major 2e classe, réserve, ambulance n° 5
Martz - Médecin aide major 2e classe réserve, ambulance n° 5
Turchetty - Médecin auxiliaire réserve, 6e régt Génie, Cie attachée à la 40e Don
Wurtz - Médecin auxiliaire active, 161e régt d'infanterie
2 sous-officiers de l'ambulance n° 5 et 34 infirmiers des formations sanitaires ou des régiments de la 40e Don.
Le 24, 25, 26 août, nous continuons à panser les blessés prisonniers qui arrivent sans interruption (combat du 23, 24, 25 sur l'Othain) entre temps. J'ai fait surveiller par le médecin aide-major Chopin [et] la reconstitution du matériel : il résulte de son travail très méthodiquement exécuté, que nous pouvons mettre sur roues une ambulance, sauf les vivres et quelques paniers de pansements déjà utilisés ; j'attachais à cette reconstitution un très grand prix car le Generalarzt directeur allemand du S.L. du XVIe corps que je voyais [p. 8] presque tous les jours , me faisait espérer mon retour avec mon matériel à travers les lignes de feu. On m'avait même rendu quelques chevaux.
Le 27 et 28 août , évacuations des blessés en automobile, ce jour-là le Generalazrt m’annonce que les Français ont retenu des formations sanitaires automobiles et que sans doute nous devrons laisser notre matériel et le 29 au matin il me signifie que, nos évacuations devant être terminées à midi, nous serons transportés dans l'après-midi en Allemagne vers un point non déterminé et que, de là, nous serons dirigés en France, vraisemblablement par la Suisse. Il écoute complaisamment mes protestations au sujet du matériel, consent même à certifier que j'avais encore mon ambulance et donne l'ordre au médecin chef du Feldlazarett de m'en donner décharge écrite pour que j’aie une garantie (ci-joint le texte) mais me déclare qu'il obéit à des "ordres supérieurs" et qu'il ne peut me donner aucune précision sur la durée du séjour en Allemagne, qu'il croit cependant devoir être courte .
[Départ de Xivry-Circourt]
[29 août] Evacués à 15 heures en automobile sur Fontoy, nous gagnons par voie ferrée successivement Thionville, Hombourg, Worms , Spire , Germersheim qu'on m'avait indiqué comme point de bifurcation, vers la Suisse, pour le personnel sanitaire. On nous expédie sur Bruchsal et c'est là, malgré toutes mes explications et protestations, que j'apprends qu'en vertu "d'ordres supérieurs " nous sommes considérés comme prisonniers de guerre et transportés à Ingolstadt, ainsi que le convoi de blessés que nous escortons depuis Thionville.
Arrivés à Ingolstadt le 31 Août à 18 heures (…) ».
Nous retrouverons dans le prochain billet le docteur Langlet, en captivité au « Reservelazarett B » (Kriegsschulle) de Munich (Bavière).
Sources :
Archives nationales, Base Léonore, dossier Langlet, 19800035/1190/37675 [en ligne].
Arch. musée du service de santé des armées, cart. 637, dos. 13 (Langlet).
SHD Terre, Vincennes, 26N 123/12, JMO, DSS 6e CA, 23 août 1914.
Alfred Mignon, Le service de santé pendant la guerre 1914-1918, Masson, Paris, 1926, t. 1, p. 81-85.
Sur le déroulement de la bataille autour de Xivry-Circourt.
LE LINGE (1915) ET LA NUMERATION DES PERTES
M. Eric Mansuy, membre de la société d’émulation du département des Vosges, propose dans le dernier bulletin des annales de l’est (n°1-2016) un article consacré à la problématique du chiffrage des pertes, à propos d’un cas : «Le Linge, un siècle après 1915 : la numération des pertes ». Cet article exigeant, solidement étayé par des sources nombreuses et variées, fera date dans l’historiographie de la Grande Guerre, comme un modèle à suivre.
Les contemporains, militaires d’active et de réserve, qui sont passés dans les états-majors des forces et se sont essayés à produire des états de pertes fictifs à la fin de manoeuvres, apprécieront – comme les historiens – cet exercice difficile décliné par M. Mansuy qui n’a été tranché dans l’armée française qu’après la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui en version de guerre classique cette catégorisation s’articule en « pertes totales » (tués, disparus, prisonniers, blessés et pertes humaines hors combat) et « pertes santé » (somme des évacuations à partir des postes de secours ou centres de triage). En 1914-1918, la discipline des chiffres ne s’imposait pas aux états-majors français et fut l’objet d’erreurs d’analyse dans l’après-guerre. Comme nous l’explique M. Mansuy : « La problématique du chiffrage des pertes, et en particulier la proportion des tués dans leur bilan global, n’a cessé de troubler l’historien, et de faire fantasmer le profane, depuis le moment même où les événements se sont produits. »
Ainsi la réalité des « pertes » était devenue synonyme de « tués ». Eric Mansuy, tout au long de son article foisonnant va nous démontrer qu’il n’en est rien et battre en brèche la version officielle sur les pertes du Linge communément admise depuis un siècle.
Eric Mansuy, «Le Linge, un siècle après 1915 : la numération des pertes », dans les annales de l’est, n° 2016-1
Autre article d’Eric Mansuy dans les annales de l’est (2014-2) : « Une « zone » de mort : Mattexey, le 25 août 1914 ».
Mise à jour : 29 avril 2020
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L'hécatombe des cadres du 5e bataillon de chasseurs à pied au Linge
Lors du travail de recherche qui amène à la publication de l'article de ce blog, (29 juillet 1915) " Le chiffre des pertes de notre côté est encore inconnu ", Eric Mansuy exhume de ses archives...
https://charlesbarberot.fr/lhecatombe-des-cadres-du-5e-bataillon-de-chasseurs-a-pied-au-linge/
AMBULANCES 1914-1918 – Lettre V
LOCALISATION DES FORMATIONS SANITAIRES DE LA ZONE DES ARMEES (1914-1918).
Ce répertoire est réalisé d’après le fonds de l’état civil aux armées conservé aux Archives Nationales de Pierrefitte-sur-Seine, versements 19860726 et 19860727 (19860726/1 à 19860726/404 et 19860727/1 à 19860727/666), dont le répertoire descriptif a fait l’objet, en 2015, d’une première édition électronique.
La mauvaise photocopie à ma disposition pour transcrire la localisation des ambulances possédait des marges parfois rognées qui ne permettaient pas toujours d’identifier les registres d’état civil.
– Légende : « lieu de stationnement », « désignation de l’ambulance », « arrivée le », « partie le », « numéro du registre ».
VACHERAUVILLE (Meuse) – GBD 39 (12-22/02/18) : 3182.
VADELAINCOURT (Meuse) – HoE 12 (23/03/16-06/09/17) : 579-581 ; 631-633 ; 781-782 ; 1011 ; 1063-1064 ; 1115 ; 1498-1499 ; HoE 6 (20/10/16-23/03/18) : 3105-3106 ; ambulance n° 232 (21-21/08/17) : 3412 ou 3413 ?.
VADENAY (Marne) – ambulance n° 1/9 (14/09/14-14/10/14) : 4601 ? 4602 ?; ambulance n° 13/11 (02/09/15-17/11/15) : 3xxx.
Vaffier (Ammertzwiller, Haut-Rhin) – GBD 157 (06-06/02/16) : 2xxx
VAILLY-sur-AISNE (Aisne) – ambulance n° 8/10 ? (05-05/10/14) : ? ; ambulance n° 3/32 (05-08/05/17) : 3xxx ; GBD 127 (09/05/17-04/04/18) : 4xxx ; ambulance n° 2/67 (18-18/05/17) : 2xxx ; ambulance n° 7/11 (25-25/05/17) : 3xxx ; GBD 166 (27/05/17-01/04/18) : 3xxx ; GBD 6 (04/06/17-25/11/17) : 4xxx ; GBD 43 (07/06/17-07/09/17) : 366x ; GBD 77 (12/07/17-09/11/17) : 473x ; GBD 66 (28/07/17-19/08/17) : 259x ; GBD 67 (23-23/08/17) : 9066-9068 ? ; GBD 38 (17/09/17-10/10/17) : 535x ; GBD 21 (29/10/17-25/05/18) : 286x ; GBD 61 (10-10/11/17) : 266x ; ambulance n° 8/11 (23/02/18-31/08/18) : 454x
VAL-ET-CHATILLON (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 3/13 (17-18/08/14) : 318x.
VALDAHON (Doubs) – ambulance n° 5/56 (04-04/03/17) : 35xx
VALDIEU (Haut-Rhin) – ambulance n° 3/7 (09-9/08/14) : 14xx
VALDOIE (Territoire de Belfort) – ambulance n° 7/14 (04-04/11/15) : 17xx
VALéCOURT (Aisne) – GBD 67 (28/10/18-05/11/18) : 90xx
Vallée (Aisne) – GBD 68 (02-06/08/18) : 30xx
VALLEREST (Haute-Marne) – ambulance n° 217 (03/12/17-13/01/18) : 3xxx
VALMY (Marne) – ambulance n° 5/1CAC (17/09/14-10/05/15) : 2xxx ; ambulance n° 2/22 (04/10/14-20/08/18 ?) : 3xxx, 3454 ; ambulance n° 1/16 (13-13/06/15) : 3430 ; ambulance n° 2/16 (27-29/09/15) : 3451 ; ambulance n°1/153 (01/10/15-30/09/17) : 4226 ; ambulance n° 6/4 (23/12/15-01/05/16) : 2787?, 2788? ; ambulance n° 3/155 (20/04/16-01/08/16) : 2734.
Valsery (Château de, Cœuvres-et-Valsery, Aisne) – GBD 97 (05-10/06/18) : 2672 ; ambulance n° 10/16 (16-16/04/15) : 1118.
VANDéLICOURT (Oise) – ambulance n° 1/81DIT (02-09/05/18) : 4225.
VANDIèRES (Marne) – ambulance n° 14/10 (27-27/07/15) : 2427 ; ambulance n° 14/2 (17-17/06/16) : 3262 ; GBD 20 (28/07/17-29/07/18) : 3816 ; ambulance n° 16/1 (28/05/18-23/06/18) : 35xx.
VANDY (Ardennes) – ambulance n° 4/18 (31/08/14-11/09/14) : 4296 ; GBD 163 (05-05/11/18) : 2513.
VANéMONT (Vosges) – ambulance n° 2/14 (31/08/14-03/09/14) : 1083.
VARANGéVILLE (Meurthe-et-Moselle) – HoE 9 (29/08/14-05/09/14) : 39xx
VARENNE-EN-ARGONNE (Meuse) – ambulance n° 6/5 (03-17/09/14) : 39xx - HoE 6 (17-17/09/14) : 31xx ; GBD 126 (02/07/16-19/10/17) : 24xx.
VARENNES (Somme) – ambulance n° 1/20 (29/08/18-01/09/18) : 42xx..
VAREUIL-VANDIèRES (Marne) – GBD 120 (02-02/06/18) : 24xx.
VASSENS (Aisne) – GBD 19 (30-30/05/18) : 38xx ; GBD 2 (23-29/08/18) : 58xx ; GBD 32 (02-02/09/18) : 38xx - Vassens (Château) – GBD 2 (24-29/08/18) : 3xxx.
VASSENY (Aisne) – ambulance n° 15/13 (09/10/18-06/11/18) : 4311-4312 ; HoE 38 (16/10/18-02/11/18) : 2941.
Vasset (La Ferme de, Crouy-sur-Ourq, Seine-et-Marne) – GBD 47 (08-13/06/18) : 3836.
VASSIMONT (Marne) – GBD 18 (11-16/09/14) : 5063 ; ambulance n° 3/9 (13-16/09/14) : 3873.
VASSINCOURT (Meuse) – ambulance n° 16/4 (04-15/09/14) : 3574.
VASSOGNE (Aisne) – GBD 10 DIC (16-16/04/17) : 3233 ; ambulance n° 11/17 (01/05/17-27/06/17) : 3542 ; GBD 38 (21/08/17-17/09/17) : 5356 ; ambulance n° 2/36 (19/08/17-02/06/18) : 3024.
Vatey (Ecury-sur-Coole, Marne) – ambulance n° 2/22 (17/07/17-27/10/18) : 3454, 3456 ; HCA 29 (27/10/18-21/01/19) : 3722.
VAUCELLES (Aisne) – GBD 3 DIC (05-08/06/17) : 5327.
VAUCHAMPS (Marne) – ambulance n° 4/11 (15-15/03/15) : 5248.
VAUCOULEURS (Meuse) – ambulance n° 2/8 (07/07/16-19/07/16) : 2730 ; Hôpital civil (26/09/18-21/01/19) : 311x ; ambulance n° 1/66 (20-29/10/18) : 3857-3858.
VAUDESSON (Aisne) – GBD 61 (17-17/05/18) : 26xx.
VAUQUOIS (Aisne) – ambulance n° 5/5 (13-13/12/14) : ?
VAUVILLERS (Somme) – GBD 62 (09-09/11/16) : 29xx.
VAUX (Aisne) – GBD 47 (20-20/07/16) : 38xx.
VAUX (Meuse) – GBD 22 (12/11/16-16/12/16) : 4559 ; GBD 6 (28-28/12/16) : 4087 ; GBD 42 (10/07/17-23/08/17) : 3833 ; ambulance n° 2/65 (22/09/14-13/10/14) : 2835 ; GBD 66 (25/08/16-26/05/17) : 2138 ; GBD 43 (15/03/16-08/04/16) : 3666 ; GBD 63 (06-19/06/16) : 1744 ; GBD 74 (28-30/10/16) : 4957.
Vaux (Fort de, Meuse) – GBD 6 (14-14/04/16) : 4086 ; GBD 63 (08-09/11/16) : 2962.
VAUX (Somme) – ambulance n° 3/12 (17-20/11/16) : 3968 ; GBD 41 (27-27/08/16) : 3830 ; GBC 7 (03-28/08/16) : 3796-3797
VAUXAILLON (Aisne) – GBD 3 (18/04/17-12/05/17) : 2xxx ; GBD 81 (14/05/17-10/08/17) : 2xxx ; GBD 22 (11-11/03/18) : 3xxx ; GBD 61 (27-27/04/18) : 2xxx ; GBD 151 (08-18/08/18) : 3xxx ; GBD 66 (07-07/09/18) : ?
VAUXBUIN (Aisne) – ambulance n° 1/55 DR (17/09/14-13/04/17) : ? ; ambulance n° 4/43 (29-29/09/14) : ? ; ambulance n° 12/14 (14/06/15-16/06/18) : ? ; ambulance n° 3/22 (22/08/17-16/05/18) : ?
Vauxcelles (Hameau de, Bergères, Aube) – ambulance n° 7/3 ? (04-04/09/14) : ?
VAUX-CHAMPAGNE (Ardennes) – GBD 22 (05-05/11/18) : 3654.
VAUX-en-DIEULET (Ardennes) – ambulance n° 5/1 (28-28/08/14) : 2407.
Vauxrot (Cuffies, Aisne)–ambulance n° 221 (29-29/11/17) : 3410 ; ambulance n° 11/17 (21/11/17-21/05/18) : 3542 ; GBD 41 (07-09/09/18) : 3832.
VAUXTIN (Aisne) – ambulance n° 9/20 (19/05/17-01/07/17) : 3394 ; ambulance n° 1/70 DR (21/06/17-06/11/18) : 991, 5239-5240 ; ambulance n° 4/3 (04-12/07/17) : 3680? à 3682? ; ambulance n° 19?/10 (10/04/17-17/05/17) : 1131? ; ambulance n° 1/53 (19/10/17-21/11/17) : 29xx ; ambulance n° 13/3 (29/07/17-18/08/17) : 32xx.
Vaux-Varennes (Bouvancourt, Marne) – ambulance n° 4/68 (17/01/17-22/02/17) : 32xx ; ambulance n° 9/2 (13/10/14-16/04/16) : 11xx ; ambulance n° 6/1 (28/10/14-23/01/16) : 30xx ; ambulance n° 9/3 (05/11/14-18/04/15) : 15xx ; ambulance n° 7/11 (21/05/16-12/07/16) : 3xxx ; ambulance n° 2/7, ambulance n° 4/44 (26/02/16-09/05/16) : 2xxx ; ambulance n° 13/14 (24/11/16-30/12/16) : 2xxx ; ambulance n° 5/69 (17/03/17-27/05/17) : 3xxx ; ambulance n° 2/58 (28/05/17-05/12/17) : 4xxx ; ambulance n° 1/155 (26/06/17-08/03/18) : 2xxx.
VAVINCOURT (Meuse) – ambulance n° 8/5 (08-09/09/14) : 78
VéEL (Meuse) – ambulance n° 9/15 (10-13/09/14) : 192.
VéHO (Meurthe-et-Moselle) – GBD 74 (20/06/15-15/10/15) : 4957 ; GBD 128 (31/01/15-07/01/16) : 190x ; GBD 42 (20-21/08/16) : 383x.
VELAINE-sous-AMANCE (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 4/9 (01-01/09/14) : 118x.
VENDENEUVE ?–ambulance n° 14/18 (15/10/18-08/11/18) : 2xxx.
VENDEUIL (Oise) – ambulance n° 7/13 (15/08/18-21/09/18) : 3612.
VANDEUIL-CAPY (Oise) – ambulance n° 209 (24/09/18-09/10/18) : 4565 ; ambulance n° 9/10 (09/05/18-14/08/18) : 7121-7122 ; ambulance n° 5/68 (01/09/18-03/10/18) : 4591.
VENDEUVRE (Aube) – ambulance n° 14/18 (15/10/18-08/11/18) : 2428.
VENDIèRES (Marne) – ambulance n° 2/75 (28-28/05/18) : 2702.
VENDRESSE (Aisne) – ambulance n° 2/163 (08/04/17-18/06/18) : 3868 ; GBD 161 (02/08/17-27/01/18) : 2676-2677.
VENDRESSE (Ardennes) – ambulance n° 3/11 (27/08/14-01/09/14) : 3874 ; ambulance n° 1/11, ambulance n° 1/21 (28-28/08/14) : 3427.
VENDRESSE & TROYON (Aisne) – ambulance n° 1/52 (25/04/17-08/05/17) : 4288 ; GBD 87 (23-23/06/17) : 2356 ; GBD 1/75, GBD 121 (21/08/18-19/05/18) : 5321 ; GBD 68 (14/07/17-01/08/17) : 3020.
VENEROLLES (Aisne) – GBD 123 (08-08/11/18) : 2447.
VENILVOORDKE ? (Belgique) – ambulance n° 1/5 DC (31/10/14-26/12/14) : 4543.
VENISE (Meuse) – ambulance n° 11/5 (09-18/09/14) : 7748 ; ambulance n° 10/5 (07-08/09/14) : 4303 ; ambulance n° 4/5 (11-11/09/14) : 4360.
VENIZEL (Aisne) – GBD 162 (10-18/09/18) : 2457.
VENNEZEY (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 9/13 (31/08/14-01/09/14) : 3887 ; GBC 8 (02-02/09/14) : 3610.
VENTELAY (Marne) – ambulance n° 1/1 (18-18/09/14) : 4357 ; ambulance n° 7/3 (16/12/14-12/05/15) : 3370 ; ambulance n° 6/9 (26-26/04/17) : 4357 ; GBD 69 (14/10/16-08/04/17) : 6605 ; GBD 9 (26/04/17-26/04/17) : 1613 ; GBD 17 (04/06/17-10/04/18) : 5223.
VERBERIE (Oise) – GBD 120 (09-09/04/16) : 2445 ; ambulance n° 3/18 (22/06/18-07/09/18) : 2399 ; ambulance n° 10/12, ambulance n° 3/18 (22/06/18-07/09/18) : 2399, 3889 ; ambulance n° 10/2 (19-20/07/18) : 3890 ; ambulance n° 5/8 (20-20/08/18) : 3334.
VERDELOT (Seine-et-Marne) – ambulance n° 11/4 (08/06/18-25/07/18) : 7440.
VERDILLY (Aisne) – GBD 39 (08-08/07/18) : 3181.
VERDON (Marne) – ambulance n° 4/1 (13-15/03/15) : 5246.
VERDUN (Meuse) – ambulance n° 7/16 (06/08/14-18/01/17) : 3972 ; HoE 6 (24/08/14-28/11/15) : 3105 ; GBD 39 (20 ?/02/16-15/04/16) : 1373 ; GBD 72 (23/02/16-10/08/17) : 2698 ; ambulance n° 15/4 (24-26/02/16) : 2238 ; ambulance n° 7/20 (27-29/02/16) : 702 ; ambulance n° 9/6 (28/02/16-31/05/18) : 4695 ; ambulance n° 2/72 (23-24/02/16) : 3463 ou 3763 ; GBD 2 (29/02/16-06/03/16) : 3812 ; GBD 14 (02/03/16-17/05/16) : 3087 ; ambulance n° 3/153 (03/03/16-17/06/17) : 4227 ; GBD 39 (03/03/16-16/03/17) : 3181 ; ambulance n° 2/13 (03-12/03/16) : 9005 ; ambulance n° 2/153 (03/03/16-02/08/16) : 3868 ; GBD 120 (03-08/03/16) : 2445 ; ambulance n° 1/21 (06-16/03/16) : 689 ; GBD 48 (07-07/03/16) : 2695 ; ambulance n° 2/43, ambulance n° 2/21 (07-10/03/16) : 895 ; ambulance n° 9/3 (08-14/03/16) : 1534 ; ambulance n° 2/21 (09/03/16-05/10/18) : 3865 ; HC PScitadelle 09/03/16-30/03/17) : 3602 ; ambulance n° 2/21, GBC 21 (10/03/16-24/06/18) : 3864 ; ambulance n° 13/14 (14/03/16-16/04/16) : 2658 ; ambulance n° 5/38 (16/03/16-18/05/16) : 4619 ; ambulance n° 2/68 (17/03/16-13/05/16) : 3965 ; ambulance n° 14/17 (18/03/16-23/05/16) : 4531 ; GBD 22 (19/03/16-29/10/17) : 3654 ; GBC 1 (03-03/04/16) : 3085 ; ambulance n° 2/13 (03/04/16-09/04/16) : 9006 ; ambulance n° 7/11, ambulance n° 7/22 (05-09/04/16) : 3521 ; ambulance n° 5/38 (05-05/04/16) : 4622 ; ambulance n° 4/10 (06-18/04/16) : 326 ; ambulance n° 213 (06-20/04/16) : 3408 ; GBD 22 (07/04/16-12/11/16) : 4559 ; GBD 24 (12/04/16-22/11/16) : 2830 ; ambulance n° 7/12(14-14/04/16) : 3524 ; GBD 5 (16/04/16-22/05/16) : 5310 ; ambulance n° 4/3 (19-21/04/16) : 3679 ; GBD 48 (06-08/05/16) : 2693 ; GBC 12 (25/05/16-10/01/17) : 4409 ; GBD 151 (30/05/16-15/11/16) : 3668 ; GBD 21 (13/06/16-26/12/16) : 2860-2861 ; GBD 84 DIT (13/11/16-14/06/17) : 1349, 1350 ; GBD 67 (08/09/16-21/09/16) : 9066-9067 ; GBD 129 (25/06/16-01/07/18) : 2673 ; GBD 127 (28/06/16-19/09/16) : 4076 ; GBD 71 (01/07/16-25/01/17) : 3183 ; ambulance n° 2/60 (01/07/16-23/08/18) : 4025-4026 ; GBD 8 (13-15/07/16) : 2690 ; GBD 16 (15/07/16-25/04/17) : 6806 ; GBD 128 (15/07/16-14/02/17) : 1905 ; ambulance n° 8/4 (17/07/16-03/08/16) : 1348 ; GBD 37 (20/07/16-17/04/17) : 4626-4627 ; GBD 8 (21-21/07/18) : 2690 ; GBD 151 (23/07/16-08/08/16) : 3669 ; GBD 31 (25/07/16-11/08/16) : 3818 ; GBD 32 (29/07/16-30/08/16) : 961 ; GBD 15 (29/07/16-08/08/16) : 2639 ; ambulance n° 7/18 (04-06/08/16) : 589 ; ambulance n° 13/14 (15-30/08/16) : 4306 ; GBD 38 (20/08/16-21/04/17) : 5356 ; GBD 32 (25/08/16-07/05/17) : 3820 ; ambulance n° 1/4 (31/08/16-11/10/18) : 3305 ; ambulance n° 6/4 (03/09/16-20/11/16) : 2787 ; GBD 68 (10/09/16-27/11/16) : 3020 ; ambulance n° 3/64 (10-11/09/16) : 4064 ; GBD 68 (10/09/16-10/01/17) : 3019 ; GBD 74 (12/10/16-18/04/17) : 4953, 4957 ; GBD 201 (23/09/16-03/02/17) : 3089-3090 ; GBD 63 (06/10/16-04/07/17) : 1744 ; GBD 9 (25/10/16-10/12/16) : 1613, 2936, 2938 ; GBD 6 (12/12/16-04/06/17) : 4037, 4086, 4087, 4088 ; ambulance n° 226 (12/12/16-14/02/17) : 5514 ; GBD 128 (25/12/18-17/09/17) : 5325 ; ambulance n° 3/11 (12/01/17-20/04/17) : 3874 ; ambulance n° 1/44 (08/02/17-12/03/17) : 3306 ; GBD 123 (10-10/05/17) : 909 ; GBD 20 (30/06/17-09/05/18) : 3817 ; GBD 42 (03/07/17-17/07/17) : 3833, 3835 ; GBD 69 (27/07/17-10/09/17) : 6605 ; ambulance n° 6/6 (07/08/17-13/09/17) : 1207 ; ambulance n° 2/155 (19/04/17-29/07/17) : 3466 ; GBD 1 DMaroc (23/08/17-07/04/18) : 4646 ; GBD 163 (24/08/17- GBD 165 (24/08/17-08/05/18) : 3853 ; ambulance n° 3/7 (30/08/17-21/10/17) : 5709 ; ambulance n° 6/6 (13/09/17-18/04/18) : 3883 ; GBD163 (17-22/09/17) : 2512 ; ambulance n° 13/14 (18-18/09/17) : 4306 ; ambulance n° 6/7 (23/10/17-02/02/18) : 2916 ; GBD 68 (19/12/17-01/08/18) : 3020 ; ambulance n° 7/20 (15/01/18-29/03/18) : 1614, 2321 ; GBD 63 (18-18/01/18) : 1744 ; ambulance n° 5/75, GBD 29 (27/03/18-19/08/18) : 7749 ; ambulance n° 2/21, GBC 21 (24/06/18-14/09/18) : 3864 ; GBD 10 DIC (21-26/09/18) : 3233-3234 ; GBD 26 (27/09/18-01/11/18) : 4953 ; GBD 38 (30-30/12/18) : 5357 ; ambulance n° 8/8 (04-09/01/19) : 7314
VERLOREN HOECK (Belgique) – ambulance n° 6/9 (04/12/14-28/02/15) : 1332.
VERMELLES (Pas-de-Calais) – ambulance n° 1/56 (24-24/03/15) : 3242 ; ambulance n° 1/58 (21-27/05/15) : 3241 ; GBD 17 (22-29/10/15) : 5061.
VERNEUIL (Aisne) – ambulance n° 3/20 (16-18/04/17) : 1154 ; GBD 39 (16-22/04/17) : 1379 ; ambulance n° 2/82 (25/04/17-12/05/17) : 3485 ; GBD 5 (17/06/17-01/07/17) 5310 ; GBD 68 (19/09/17 ?-19/12/17) : 3020.
VERNEUIL (Marne) – ambulance n° 14/2 (27/11/14-02/08/16) : 3560 ; ambulance n° 14/11 (03/10/16-27/09/18) : 3560 ; GBD 67 (09-24/12/17) : 9067 ; ambulance n° 10/12 (28-28/07/17) : 3256 ; GBC 1 (20-12/17) : 3435.
VERRIERES (Marne) – ambulance n° 6/22 (22/09/15-24/12/18) : 4299 ; ambulance n° 9/15 (17/04/17-04/01/19) : 2497 ; GBD 97 (19-21/07/17) : 2672.
Vertefeuille (Ferme de, Longpont, Aisne)– GBD 12 (26/07/18-03/08/18) : 2819.
VERTEFEUILLES-LES-PIERREFONDS (Oise) – ambulance n° 4/67 (04/10/18-05/11/18) : 3498 ; ambulance n° 9/20 (26/07/18-06/08/18) : 3380 ; ambulance n° 1/53 DR (23-25/08/18) : 4042 ; ambulance n° 5/13 (20-30/09/16) : 9095.
VERTUS (Oise) – ambulance n° 5/70 (24/01/16 ?-23/07/18 ?) : 4336 ; ambulance n° 3/22 (16/08/18-09/01/19) : 4399 ; ambulance n° 16/22 (07-18/06/18) : 2503 ; ambulance n° 7/7 (27/09/18-21/12/18) : 2496
VERVINS (Aisne) – GBC 16 (10-10/10/18) : 3800 ; ambulance n° 3/61 (01/12/18-15/02/19) : 4289.
VERZENAY (Marne) – ambulance n° 11/10 (16-19/09/14) : 3386 ; ambulance n° 3/11 (21/09/14-01/10/14) : 3874 ; ambulance n° 12/11 (11/10/14-30/11/14) : 3390 ; GBD 2 DIC (23-27/02/18) : 4078.
VERZY (Marne) – ambulance n° 10/9 (06-06/11/14) : 3532 ; GBD 97 (07-07/09/16) : 2671 ; GBD 45 (23/07/18-08/08/18) : 4560.
VESOUL (Haute-Saône) – HCA 35 (08-08/09/18) HCA 37 (09/09/18-10/11/18) : 2798, 3725 ; HCA 38 (13/09/18-02/11/18) : 2660 ; HC 36, HC 67 (23/09/18-07/11/18) : 3725.
VESTROOSEBEL (Belgique) – GBD 164 (05-21/10/18) : 2679.
VEUVE (La, Marne) – ambulance n° 13/20 (19/05/18-06/06/18) : 1728
VEZAPONIN (Aisne) – ambulance n° 14/13 (25/03/18-08/06/18) : 3562 ; ambulance n° 2/85 (28/03/18-27/11/18) : 2914 ; GBD 161 (09-09/04/18) : 2677 ; GBD 42 (15/04/18-05/05/18) : 2695 ; GBD 48 (15-15/04/18) : 2695 ; ambulance n° 249 (05-08/04/18) : 5111 ; GBD 17 (14/09/18-17/10/18) : 5062.
VEZIN (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 1/4 (24-4/08/14) : 3304.
VIC-sur-AISNE (Aisne) – ambulance n° 4/7 (14/09/14-01/07/15) : 3132-3133 ; ambulance n° 5/44 (16/09/14-10/03/16) : 7441 ; ambulance n° 8/7 (22/09/14-15/11/14) : 4720 ; ambulance n° 3/7 (22/09/14-20/10/15) : 1433, 5710 ; GBD 63 (25-25/09/14) : 2865 ; ambulance n° 12/11 (04/02/15-18/06/15) : 3390 ; GBD 77 (05/12/16-18/03/17) : 4733 ; ambulance n° 5/38 (22/03/17-19/04/17) : 4620 ; GBD 162 (12-12/06/18) : 2457 ; GBD 128 (20-22/08/18) : 5326 ; ambulance n° 15/8 (16-16/09/18) : 3400.
VILLE-sur-COUSANCES (Meuse) – ambulance n° 4/9 (30/04/16-20/05/16) : 1164 ; ambulance n° 4/45 (13/05/15-18/05/16) : 3488 ; ambulance n° 15/15 (20/05/16-29/10/16) : 3101-3102 ; ambulance n° 3/15 (20/05/16-10/01/17) : 3091, 3093 ; ambulance n° 10/15 (24/05/16-13/09/16) : 3534 ; ambulance n° 9/14 (03/11/16-14/02/17) : ? ; ambulance n° 11/16 (27/01/17-25/06/17) : 3387-3388 ; ambulance n° 5/16 (10/02/17-31/05/17) : 3501 ; ambulance n° 2/15 (16/03/17-29/07/17) : 5338 ; ambulance n° 3/64 (28/06/17-22/07/17) : 3094 ; ambulance n° 6/13 (23/07/17-09/09/17) : 1495 ; ambulance n° 3/75 (04-30/08/17) : 3678 ; ambulance n° 8/2 (12/09/17-23/03/18) : 4379 ; ambulance n° 15/18 (25/09/17-04/03/18) : 4740 ; ambulance n° 6/2 (25/11/17-03/12/17) : 338x ; ambulance n° 3/2 (15-15/12/17) : 814x ; ambulance n° 9/7 (23/01/18-29/04/18) : 460x ; ambulance n° 3/73 (10/09/18-10/10/18) : 4715-4716.
VILLERS-le-SEC (Aisne) – GBD 67 (13-15/11/18) : 9068.
VéZILLY (Aisne) – ambulance n° 3/20 (30-30/09/18) : 3252 ; ambulance n° 5/20 (30/09/18-05/10/18) : 3252 ; ambulance n° 7/20 (06-06/10/18) : 3272.
VIEIL-ARCY (Braine, Aisne) – ambulance n° 3/67 (16-24/04/17) : 4180, 4334
VIEIL-FORT (Pas-de-Calais) – ambulance n° 8/12 (23/07/15-26/08/15) : 776.
VIENNE-LE-CHATEAU (Marne) – GBD 126 (01/07/15-22/08/16) : 1305 ; GBD 15 DIC (02-02/08/15) : 3303.
VIENNE-LA-VILLE (Ferme de la Nouë, Marne) – ambulance n° 1/2(16-16/09/14) : 2279 ; ambulance n° 6/2 (28-28/09/14) : 3363 ; ambulance n° 11/10 (18/09/15-13/12/15) : 3386.
Note : correction orthographique "Ferme de la Nouë". M. François Michel.
VIERZY (Aisne) – ambulance n° 10/4 (03/01/15-15/08/15) : 6461 ; ambulance n° 5/52 (06/03/15-09/08/17) : 3507 ; HoE 2 (15/08/17-05/11/17) : 3990 ; ambulance n° 14/2 (10/11/17-07/04/18) : 3262 ; ambulance n° 2/56 (26/11/17-01/09/18) : 2831 ; HoE 13 (29/05/18-27/08/18) : 3915-3916 ; GBC 20 (06-07/08/18) : 2552 ; ambulance n° 12/16 (09-16/08/18) : 4608 ; ambulance n° 5/20, ambulance n° 12/10 (14/08/18-20/09/18) : 3252 ; GBC 1(29-31/08/18) : 2636 ; ambulance n° 8/7 (23/09/18-04/10/18) : 4720.
VIEUX (Ardennes) – GBD 12 (12-12/10/18) : 2445.
VIEUX-ROUEN (Seine-Inférieure) – ambulance n° 246 (01/07/17-22/01/18) : 3598.
VIGNEMONT (Oise) – ambulance n° 1/96 (17/04/18-03/09/18) : 3594.
Vicentter ? (Sainte-Menehould, Marne) – ambulance n° 12/5 (04/03/16-24/04/16) : 2581.
Vilaine-aux-Cinq-Tranchées (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 4/62, ambulance n° 4/12 (08-08/11/18) : 3494.
Vilette (près Fismes, Marne) – ambulance n° 7/18 (14-14/09/14) : 4739.
VILLE DOMMANGE (Marne) – GBD 45 (01/06/18-02/10/18) : 4560-4561 ; GBD 2 DIC (06/06/18-24/09/18) : 4077 ;
VILLE-sous-CORBIE (Somme) – ambulance n° 3/20 (06-06/10/14) : 1152.
VILLE-sous-ORBAIS (Marne) – ambulance n° 4/1 (19-20/02/15) : 5246.
VILLE-SUR-RETOURNE (Ardennes) –GBD 60 (14/08/14-12/05/15) : 5320.
VILLE-SUR-TOURBE (Marne) – ambulance n° 9/18 (18/05/15-19/03/17) : 4639.
VILLE-EN-WOEVRE (Meuse)– ambulance n° 1/75 (24/08/14-06/09/14) : 5733.
VILLEMONTOIRE (Aisne) – GBD 32 (11-11/10/14) : 961 ; GBD 87 (26/07/18-08/08/18) : 7021 ; GBC 20 (07-13/08/18) : 2552.
VILLENAUXE (Aube) – ambulance n° 5/51 (08-10/09/14) : 3505.
VILLENEUVE-Lès CHARLEVILLE (La, Marne) – ambulance n° 8/1 (04-04/09/14) : 3375.
VILLENOY (Seine-et-Marne) – ambulance n° 244 (15/05/17-14/10/18) : 3042.
VILLEQUIER-AUMONT (Aisne) – ambulance n° 2/61 (03-12/04/17) : 5707 ; ambulance n° 8/7 (12/04/17-16/08/18) : 4720-4721 ; ambulance n° 5/14, ambulance n° 5/44 (29/08/17-06/06/18) : 7441.
VILLERS-ALLERAND (Marne) – ambulance n° 9/18 (30/05/18-27/06/18) : 4658.
VILLERS-sur-ARGONNE (Marne) – ambulance n° 12/18 (23/12/14-01/01/15) : 6497.
VILLERS-au-BOIS (Pas-de-Calais) – GBD 14 (18-28/06/15) : 4731 ; GBC 32 (06-06/08/15) : 3808 ; GBD 17 (28/02/16-21/04/16) : 5223.
VILLERS-en-PRAYèRES (Aisne) – ambulance n° 2/38 (25/10/14-21/06/15) : 3024.
VILLERS-BRETONNEUX (Somme) – ambulance n° 13/20 (29/09/14-07/12/14) : 51x ; ambulance n° 2/14 (12/10/14-01/08/15) : 1083 ; ambulance n° 16/14 (21/01/15-12/03/15) : 2120 ; ambulance n°1/14 (17/03/15-30/12/15) : 3855 ; ambulance n° 13/8 (24-24/07/15) : 3548 ; ambulance n° 6/8 (05/08/15-04/09/15) : 3512 ; ambulance n° 16/3 (07-29/12/15) : 3398 ; ambulance n° 7/3 (30/12/15-22/02/16) : 3370 ; ambulance n° 3/62 (23-23/01/16) : 3480 ; ambulance n° 13/3 (08-20/02/16) : 3258 ; ambulance n° 21 (09/02/16-10/03/18) : 5588 ; ambulance n° 9/18 (22/02/16-04/09/16) : 4658 ; ambulance n° 8/22 (23/02/16-27/05/16) : 3764 ; ambulance n° 3/22 (06/06/16-19/07/16) : 4399-4400 ; ambulance n°5/1 (25/06/16-18/08/16) : 2407 ; ambulance n° 15/22 (20/06/16-27/12/16) : 5248 ; ambulance n° 2/7 (01/07/16-10/01/17) : 5739-5740 ; ACA 21 (17-17/07/16) : 4364 ; ambulance n° 3/3 (10/08/16-11/01/17) : 3469 ; ambulance n° 6/38 (26/08/16-18/09/16) : 4620 ; ambulance n° 209 (16/09/16-22/10/16) : 4365 ; ambulance n° 16/10 (26/10/16-14/12/16) : 3403 ; GBD 37 (08/06/18-31/08/18) : 4626.
VILLERS-CHâTEL (Pas-de-Calais) – ambulance n° 2/70, ambulance n° 6/33 (30/11/14-27/06/15) : 5360 ; GBD 14 (16-21/05/15) : 4731 ; ambulance n° 13/1 (04/02/15-20/08/15) : 2793 ; ambulance n° 9/9 (28/05/15-16/06/15) : 2739 ; ambulance n° 5/38 (23/04/15-16/03/16) : 4619.
VILLERS-COTTERETS (Aisne) – HoE 34 (17/09/14-24/07/17) : 4332, 4233 ; ambulance n° 9/4 (27/09/14-18/05/15) : 6339 ; HCA 46 (29/05/18-2327-2328 ; HoE 13 (30/05/18-02/08/18) : 3916 ; ambulance n° 2/61 (31/05/18-26/10/18) : 5708 ; ambulance n° 226 (01-12/06/18) : 5514 ; GBD 87 (05-13/06/18) : 7021 ; GBD 61 (06-07/06/18) : 2669-2670 ; ambulance n° 5/53 (06/06/18-19/07/18) : 4538 ; GBD 128 (10-14/06/18) : 1905, 5525 ; GBD 42 (11-23/07/18) : 2695 ; ambulance n° 7/18 (18/07/18-02/10/18) : 4738 ; ambulance n° 16/22 (01/08/18-24/10/18) : 3404, 3581, 3582, 3584, 3585, 3787 ; ambulance n° 242 (20/08/18-29/09/18) : 3906 ; ambulance n° 15/7 (25/10/18-31/12/18) : 3702 ; HoE 51B (17/08/18-26/11/18) : 5113.
VILLERS-sur-COUDUN (Oise) – ambulance n° 247 (22/08/17-17/05/18) : 2585.
VILLERS DAUCOURT (Marne) – ambulance n° 13/8 (09/07/17-23/10/18) : 2421 ; ambulance n° 1/8 (23/10/18-16/11/18) : 2393.
VILLERS-aux-éRABLES (Somme)–ambulance n° 9/10 (22/07/16-04/03/17) : 7121 ; ambulance n° 5/4 (30/12/16-09/01/17) : 4057 ; ambulance n° 7/4 (05-29/01/17) : 1059 ; GBD 42 (12-12/08/18) : 3834.
VILLERS FRANQUEUX (Marne) – GBD 41 (18-25/04/17) : 3830 ; GBD 16 (10-30/10/18) : 6806.
VILLERS HELON (Aisne) – ambulance n° 12/16 (16/08/18-15/10/18) : 4608 ; GBD 19 (22-30/07/18) : 3815 ; GBC 2 (27/08/18-10/09/18) : 2553 ; ambulance n° 12/10 (01/09/18-25/10/18) : 4609.
VILLERS-la-FOSSE (Ardennes)–GBC 1 (11-17/09/18) : 2636.
VILLERS-le-PETIT (Aisne) – GBD 41 (22-22/07/18) : 3831.
VILLERS-le-RIGANET ?(Seine-et-Marne) – GBC 7 (25-25/06/18) : 3797.
VILLERS-LèS-ROYE (Somme) – GBD 47 (22-22/08/18) : 3836.
VILLERS-MARMERY (Marne) – ambulance n° 4/9 (15-17/10/14) : 116x ; ambulance n° 16/21 (24/10/14-21/03/15) : 97xx ; ambulance n° 5/4 (19/04/15-25/09/15) : 4xxx ; ambulance n° 9/4 (19/1015-10/06/16) : 3379 ; ambulance n° 3/2 (16/06/16-09/08/16) : 4402 ; ambulance n° 10/ 2CAC (04/08/16-31/03/17) : 3382 ; ambulance n° 204 (11/04/17-26/05/17) : 3898 ; ambulance n° 9/10(27/04/17-03/07/17) : 7121 ; ambulance n° 3/59 (14/06/17-15/09/17) : 3879 ; ambulance n° 5/4 (27/06/17-30/05/18) : 4057 ; ambulance n° 2/68 (02/07/17-29/08/17) : 3964 ; GBD 124 (09-09/08/17) : 2290 ; ambulance n° 12/8 (21/08/17-29/12/17) : 1348 ; ambulance n° 6/4 (16/12/17-20/03/18) : 2787.
VILLERS-SAINT-GEORGES (Seine-et-Marne) – ambulance n° 5/61 (29/05/18-15/11/18) : 3253.
VILLERS-sur-MEUSE (Meuse) – ambulance n° 5/67 (15/12/14-05/05/15) : 2318 ; ambulance n° 3/67 (09/04/15-21/06/15) : 4180 ; ambulance n° 14/6 (23-23/06/15) : 2645 ; ambulance n° 3/2 (27-27/02/16) : 3500 ; ambulance n° 3/2 (22-22/03/16) : 8147.
VILLERS-TOURNELLE (Somme) – GBD 45 (08/04/18-28/05/18) : 4561.
VILLETTE (Marne) – ambulance n° 4/12 (04-16/02/17) : 4296 ; ambulance n° 15/9 (21-21/06/17) : 3397.
VILLEVEQUE (Vermand, Aisne) – ambulance n° 1/87 (25-31/05/17) : 3446.
VILLIERS-LE-BEL ? – ambulance n° 6/20 (19/07/17-27/09/18) : 7026.
VILLIERS-EN-LIEU (Haute-Marne) – ambulance n° 7/2 (11-12/09/14) : 114.
VILLOTTE (Meuse) – ambulance n° 2/75 (11-11/11/14) : 2702 ; ambulance n° 4/12 (09/12/17-14/01/18) : 4297 ; ambulance n° 11/4 (26/04/18-21/09/18) : 7439 ; ambulance n° 5/5 (2-02/06/18) : 2704 ; HoE 4B (17/09/18-16/12/18) : 2465 ; ambulance n° 16/18 (23/09/18-28/12/18) : 4443.
VIMY (Pas-de-Calais) – ambulance n° 1/70 (02-02/10/14) : 991 ; ambulance n° 6/14 (16-18/11/15) : 3515.
VINCELLES (Marne) – GBC 3 (08-08/08/18) : 3793.
VINGRé (Nouvron-Vingré, Aisne) – GBD 63 (05-06/10/14) : 1744 ; ambulance n° 3/7 (09-17/01/15) : 5710 ; GBD 77 (16/01/17-16/04/17) : 4733.
VIOLAINE (Mast-et-Violaine, Aisne) – GBD 25 (30/07/18-28/08/18) : 3657.
Virly (Jouaignes, Aisne) – ambulance n° 1/69 (09/04/15-20/12/15) : 3438 ; ambulance n° 3/16, ambulance n° 3/32 (27/03/16-08/05/17) : 5782.
VIRTON (Belgique) – HoE 52B (30/01/19-24/04/19) : 3604, 3606.
VITRIMONT (Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 1/20 (01/09/14-18/11/14) : 4220.
VITRY-LE-FRANCOIS (Marne) – ambulance n° 12/4 (17/09/15-31/12/15) : 3389 ; ambulance n° 13/20 (17/09/15-10/03/17) : 1728 ; HoE 4 (26/09/15-29/10/15) : 3417 ; ambulance n° 1/2 (03/10/15-25/04/17) : 2279 ; Ambulance américaine de campagne n°1 (10-24/10/15) : 187 ; ambulance n° 15/5 (04-30/07/18) : 2431 ; ambulance n° 5/51 (15/09/18-10/11/18) : 3505-3506 ; HoE 1, HoE 37 (13-21/09/14) : 3130.
VITTARVILLE (Meuse) – ambulance n° 7/5 (25-25/08/14) : 3xxx ; amb. 8/5( 25-25/08/14) : 78.
VIVE-SAINT-BAVON (Belgique) – ambulance n° 5/13 (31/10/18-19/02/19) : 45xx.
VIVIèRES (Aisne) – ambulance n° 6/7 (13/05/15-30/07/15) : 30xx ; ambulance n° 8/7 (31/07/15-23/03/17) : 47xx ; ambulance n° 11/13 (01/08/16-13/04/17) : 35xx.
VLAMERTINGE (Belgique) – HoE 13 (30/10/14-25/11/14) : 14xx ; ambulance n° 1/6 DC (30-30/10/14) : 3xxx ; ambulance n° 4/9 (08/11/14-31/03/15) : 116x ; ambulance n° 6/20 (09/11/14-30/04/15) : 32xx? ; GBC 20 (12-12/11/14) : 380x ; ambulance n° 5/5 (02-02/02/15) : 270x ;
VOESTEN (Belgique) – GBD 15 (01-01/11/17) : 2454 ?
VOCHMEE ? (Belgique) – ambulance n° 3/3 (23-23/08/14) : 347x.
VOID (Meuse) – ambulance n° 8/8 (23/05/16-03/01/19) : 7314 ; HCA 43 (30/03/18-25/12/18) : 2874.
VOILEMONT (Marne) – ambulance n° 8/15 (10/06/15-13/07/15) : 764.
Voie romaine (Champagne) – GBD 16 (16-17/05/17) : 6806.
Voirincourt (château de, Laneuvelotte, Meurthe-et-Moselle) – ambulance n° 2/68 (01/07/16-14/04/18) : 3964 ; ambulance n° 5/37 (24/05/17-18/07/17) : 3471 ; ambulance n° 3/155 (21/10/17-25/08/18) : 2734.
Voizogne (bois de, Flirey, Meurthe-et-Moselle) – GBC 31 (02-02/08/15) : 2040.
VOMéCOURT (Vosges) – ambulance n° 8/13 (07-09/09/14) : ?
VONCQ (Ardennes) – GBD 163 (05-09/11/18) : ?
VOHARIES ? (Aisne) – ambulance n° 12/16 (13/10/18-04/12/18) : 46xx
VOSTOLETEREN ?(Belgique) – ambulance n° 1/70 (17/10/18-06/11/18) : xxxx.
VOUZIERS (Ardennes) – HoE 2, HoE 38 (27/08/14-01/09/14) : 3111 ; GBD 134 (19-22/10/18) : 2509 ; GBD 42 (01-01/11/18) : 3833 ; ambulance n° 3/54 (04-06/11/18) : 2785 ; ambulance n° 4/9 (10-11/11/18) : 4294 ; ambulance n° 11/20 (19/11/18-29/01/19) : 3099 ; HoE 22 (30/11/18-23/01/19).
VOYENNES (Somme) – ambulance n° 16/21 (18/09/18-16/10/18) : 3579-3580 ; amb 3 DMaroc (29-29/09/18) : 3468.
VRAINCOURT-CLERMONT (Meuse) – ambulance n° 14/5 (18/12/14-23/07/15) : 68xx.
VRAUX (Marne) – ambulance n° 3/11 (23/04/16-16/06/16) : 3874.
VREGNY (Aisne) – GBD 27 (28-28/10/17) : 2691.
VRéLY (Somme) – GBD 20 (25-25/10/15) : 3817.
VULVERGHEN (Belgique) – ambulance n° 1/10 DC (08-08/11/14) : 733.
VYVERHOEL (Belgique) – ambulance n° 11/16 (04-11/11/14) : 3387.
Remerciements à M. François Michel, Eric Mansuy
N’HESITEZ PAS A ME FAIRE PART DE VOS OBSERVATIONS.
Les formations hospitalières de la zone des armées font quant à elle l'objet de longs développements dans le tome 5 des Hôpitaux militaires dans la guerre 1914-1918.