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Hôpitauxmilitairesguerre1418 - Santé Guerre

Surréalisme et Hôpitaux militaires (1914-1918) : Jacques Vaché à Nantes (22 nov. 1915-25 fév. 1916)

31 Décembre 2012 , Rédigé par FO Publié dans #les hommes, #Bretagne 1914-1918

Des documents inédits...

En 1985, j’ai travaillé au reclassement des archives de la direction régionale du service de santé de la 3e région militaire, alors située au quartier Margueritte de Rennes et en particulier de son fonds de la Guerre 1914-1918 stocké dans le sous-sol de la direction (plus de 2000 mètres linéaires d'archives…). A cette occasion j’ai pu consulter les archives médicales des hôpitaux militaires de Nantes ; j’étais alors « à la recherche des surréalistes ». Mon but était de tirer de cette documentation quelques éléments biographiques susceptibles d’être utilisés pour le bulletin de liaison du service de santé des armées « SAN3 » du Grand-Ouest.

Le temps est passé. Celui de la mutation est arrivé. Le dossier constitué alors s’est perdu sous une pile d’autres dossiers…. La direction de Rennes a été supprimée et ses archives médicales ont migré sous d’autres cieux. Aujourd’hui il est temps d’exhumer ces notes et de proposer ces éléments qui devraient intéresser le plus grand nombre et « éclairer », par des documents inédits, le parcours nantais de Jacques Vaché. Les experts « ès-dada » devraient apprécier cette petite contribution.

En guise d’introduction : La « Guerre » de Jacques Vaché (résumé).

Jacques Vaché (1895-1919), écrivain et dessinateur, ami d’André Breton et précurseur mythique du surréalisme est incorporé au 19e régiment d’infanterie de Brest (15 décembre 1914) puis versé au 64e régiment d’infanterie d’Ancenis (16 juin 1915). Avec son régiment, lors de la 2e offensive de Champagne, il est blessé à la jambe gauche, le 25 septembre 1915, à proximité de Tahure. Il est hospitalisé, du 26 septembre au 29 octobre 1915 à Nevers. A l’issue de sa convalescence il est envoyé à Ancenis au dépôt du 64e et présenté au conseil spécial de réforme, classé « service auxiliaire » pour myopie… (CSR d’Ancenis, du 17 novembre 1915). Sa blessure du 25 septembre 1915 lui a cependant laissé des séquelles qui nécessitent une nouvelle hospitalisation. Le 22 novembre 1915 il est admis à l’hôpital bénévole (HB) n° 103bis de Nantes, dont il sort le 25 février 1916 après avoir été opéré. A sa sortie, il rejoint l’hôpital dépôt de convalescents (HDC) n°1 de Nantes et voit confirmer par la commission spéciale de réforme d’Ancenis son affectation au « service auxiliaire ». Il rejoint, le 18 mai 1916, le 81e régiment d’infanterie territoriale (RIT) en qualité d’interprète en langue anglaise. Il est versé – probablement pour administration – au 19e escadron du Train des équipages militaires (19 juin 1916), puis au 14e escadron (30 août 1918). Libéré des obligations militaires, il décède, par accident ou suicide ?, à Nantes le 6 janvier 1919.

Jacques Vaché, le « dandy aux tranchées » : sa blessure (éléments d’analyse)

Affecté au 64e d’Infanterie, dans une lettre à sa tante, Madame Guibal, datée du 30 septembre 1915, le soldat Vaché précise : « un sac de grenade qui éclate à côté de moi, les miennes qui s’en mettent, voila toute l’affaire. Mais ce que je ne pourrai jamais dire, c’est la chance que j’ai eu : Quand je pense que plus de trente grenades explosives ont éclatés à mes pieds (alors qu’une seule avait blessé 19 boches sous mes yeux) – et que je portais de quoi asphyxier un régiment (…) » [orthographe respectée].[argusdubibliophile]

Pour moi, ce type de lettre est un classique du genre combattant, destiné à rassurer les proches, à minorer une participation active à l’action. Après en avoir lu plusieurs centaines du même genre, j’ai toujours le même réflexe : me reporter au Journal des marches et opérations (JMO) de l’unité au sein de laquelle servait le soldat. Celui du 64e auquel appartenait le soldat Vaché, pour septembre 1915, m’a paru édifiant.

Vaché précise – dans sa lettre du 30 septembre (cf. supra) – qu’il fut blessé « le matin d’une journée intéressante », bien avant la mêlée. Le JMO n’est pas de cet avis puisque son colonel précise que le régiment rejoignit ses positions dès la veille à 23h00. Il était donc à poste pour le départ de l’attaque, le 25 septembre à six heures. Appartenant à la 2e compagnie du régiment [affectation précisée sur le dossier médical] il dût faire partie de la troisième vague d’assaut sous le commandement du capitaine Chenard.

Voici quelques extraits du Journal des marches et opérations (SHD-Terre, Vincennes, 26N 657/2, du 13 janvier au 19 octobre 1915, journée du 25 septembre 1915) qui illustrent l’action du régiment et l’utilisation des grenades ce jour-là :

« Le lieutenant-colonel rend compte que le régiment est parti à l’attaque d’une manière enragée (…) ». Il signale des corps à corps dans les tranchées allemandes. – « Tous les hommes qui reviennent témoignent que les Allemands ont criblé de grenades ceux de nos blessés qui donnaient le moindre signe de vie. (…) Toute la nuit du 25 au 26 et du 26 au 27 des patrouilleurs et des groupes de brancardiers cherchèrent à ramener les blessés malgré le feu violent des mitrailleuses ennemies et les fusées éclairantes qui se succédaient sans interruption. » Plus loin, dans le texte, cette information concernant le capitaine Chénard qui nous ramène « à la valse des grenades » : « Le capitaine Chénard de la 2e cie et le lieutenant Lhermite de la 1ère cie furent rapportés. Les blessés rapportés étaient tous dans un état très grave à cause du jet de grenades. Le capitaine Chénard est mort de ses blessures dans la nuit du 25 au 26. »

Il est possible que le soldat Vaché se soit blessé lui-même mais j’en doute. Ne serait-ce que par sa mention des 19 boches blessés par une grenade « sous ses yeux ». Je ne sais si son récit a rassuré ses parents et amis, mais un Jacques Vaché, pacifiste, qui « se créait de nombreux personnages qui étaient autant de cuirasses » ne pouvait être identifié à un héros, ou – pour le moins - à un poilu combattant.

Jacques Vaché et les hôpitaux militaires.

Blessé le 25 septembre 1915, le soldat Vaché suivit les vicissitudes des blessés du 64e. L’on peut s’en faire une petite idée en dépouillant les JMO du service de santé des 21e division d’infanterie dont dépendait le 64e (26N 303/7), puis du 11e corps d’armée dont dépendait la 21e DI (26N 335/8).

Nous savons qu’il fut hospitalisé à Nevers (8e région militaire), transporté par train sanitaire, probablement via l’hôpital d’évacuation (HOE) n° 33 de Troyes qui accueillit, du 26 septembre au 10 octobre, 85 451 blessés de la deuxième offensive de Champagne.

A Nevers il fut hospitalisé, le 26 septembre 1915, à l’hôpital complémentaire n°25, couvent Sainte-Marie, 36 rue Sainte-Marie, 160 lits (ouvert du 2 août 1914 au 30 septembre 1919). Sainte-Marie était un hôpital spécialisé pour blessés dans lequel Il subit une opération chirurgicale aux jambes. Il sortit le 29 octobre 1915.

De retour à son dépôt d’Ancenis, le 6 novembre, il cherche à se faire réopérer des séquelles qu’il a conservées de sa blessure du 25 septembre et à quitter Ancenis où il peut être hospitalisé et opéré pour Nantes et sa famille… Dans son dossier médical consulté en 1985, j’ai retrouvé la trace d’une demande du médecin-chef du dépôt du 64e d’Ancenis adressée à la direction du service de santé de la 11e région militaire de Nantes, suite à l’intervention du père de Jacques Vaché, pour son hospitalisation à Nantes.

« [sur papier à en-tête :] 1er Corps d’Armée / 64e Régiment d’Infanterie - Le médecin-chef de service, 64e régiment d’infanterie, à Monsieur le Directeur du Service de Santé de la XIe Région.

Objet : Demande d’hospitalisation du soldat Vaché Jacques du 64e à l’hôpital municipal 2bis.

J’ai l’honneur de vous rendre compte que le soldat Vaché Jacques, du 64e régt d’infanterie, arrivé au dépôt le 6 novembre 1915 a été radiographié le 10 novembre à Ancenis. Il a : 1°) un éclat d’obus situé dans l’espace interosseux de la jambe gauche à sa partie [] supérieure. 2°) un éclat d’obus dans le mollet gauche situé dans la masse des jumeaux. Il doit être hospitalisé pour extraction de ces projectiles. Son père, Mr le lieutenant-colonel Vaché du 101e d’artillerie lourde [f. verso] à Angoulême désirerait que son fils fût hospitalisé à l’hôpital municipal 2bis, rue du Boccage à Nantes où Madame Guibal tante de ce dernier et belle-sœur du lt Colonel est infirmière.

J’ai donc l’honneur de vous demander si vous voulez bien autoriser cette évacuation.

Ancenis 15 novembre 1915 [– signé : illisible].

[autre écriture, en bas de page] Municipal 2bis / Dr Chevrier – Nantes le 16 novembre 1915. [signé : illisible] P[ar] O[rdre] [Timbre officiel, « république assise » de la Direction du service de santé de Nantes], n° 13927T. »

L’on observera qu’il n’est plus question dans cette lettre d’extraits de grenades mais d’obus ; dans d’autres citations du dossier médical il est mentionné des « projectiles »…

Le 22 novembre 1915 le soldat Vaché est hospitalisé à l’hôpital bénévole n°103bis (ex-ambulance municipale n°2bis ou hôpital municipal n°2bis ou hôpital bénévole n°2bis), au 2 rue du Bocage, dans les locaux du lycée de jeunes filles Gabriel Guist’hau (en fonctionnement du 26 septembre 1914 au 31 janvier 1919). Vaché est placé salle n°9, dans le service du docteur Chevrier qui l’opérera « sous écran » le 9 décembre 1915 (noté dans le cahier d’observations du docteur Chevrier). Le 25 février 1916, il sort de l’hôpital et rejoint l’hôpital dépôt de convalescents (HDC) n°1 (Salle Mauduit, 10 rue A. Leloup), avant de retourner à son dépôt à Ancenis où il est de nouveau présenté à la commission de réforme du lieu, le 22 mars 1916.

Confirmé « service auxiliaire », classé « bon pour le service », il rejoint le 18 mai 1916 sa nouvelle affectation, le 81e Territorial de Nantes, dans lequel ce jeune dandy « myope », à canne de jonc, devait plus que « dénoter » au milieu des « pépères » qui devaient le considérer comme un « embusqué » en dépit de ses blessures de guerre.

Photo : Page du registre des entrées (15 octobre 1915-21 juillet 1916) de l'hôpital bénévole n° 103bis de Nantes
Sur les hôpitaux militaires (1914-1918), l'on peut se référer à nos ouvrages : Hôpitaux militaires de Nantes, tome 1, p. 262-270 et Hôpitaux militaires de Nevers, t. 2, p. 291-294 ainsi qu'au dossier thématique sur les évacuations sanitaires par voie ferrée, t. 2, p. 32.
Sur Jacques Vaché... Tout sur Jack de Nantes, le site incontournable de Thomas Guillemin
mis à jour : 16 février 2018
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Oeuvre marseillaise pour les Poilus et Cinéma (1914)

30 Décembre 2012 , Rédigé par François OLIER Publié dans #varia

Oeuvre marseillaise pour les Poilus et Cinéma (1914)
VARIA

26 novembre 1914 : L'oeuvre des plastrons du soldat de Marseille offre une "Grande Matinée cinématographique"

dont profiteront les blessés hospitalisés dans hôpitaux militaires de Marseille.

Commentaires (gauche) : "J'avoue que je préférerais qu'il n'y ait pas de cinéma - Mais puisqu'on les autorise, il est mieux d'en prendre la recette pour les soldats."

(bas) : "environ 36 000 [plastrons] plus 5 ou 6000 gilets et 5 ou 6000 autres vêtements".

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JMO des HOPITAUX D'EVACUATION (HOE) 1914-1918 au Val-de-Grâce

27 Décembre 2012 , Rédigé par FO Publié dans #recherche archives documentation

JMO des HOE métropolitains (front du nord-est) détenus par le Val-de-Grâce.

3e partie et fin

Cette liste a été établie d’après un relevé sur fichier manuscrit datant de 1978. Selon mes informations le classement n’a pas été modifié. Il n’en demeure pas moins que je ne donne le numéro de carton qu’à titre indicatif et que celui-ci peut avoir été modifié par la conservation du Val-de-Grâce.

Hôpital d’évacuation n°1 (HOE), cart. n°925 – 1ère section : 3 vol. (2 août 1914 – 17 février 1919) et 13 pièces annexes (17 avril 1918 – 12 juin 1918). 2e section : 1 vol. (3 août 1914 – 21 décembre 1915).

Hôpital d’évacuation n°2 (HOE), cart. n°925 – 1ère section : 1 vol. (4 août 1914 – 31 juillet 1919). 2e section : 1 vol. (25 janvier 1916 – 30 novembre 1918).

Hôpital d’évacuation n°3 (HOE), cart. n°925 - 1ère section : 5 vol. (3 août 1914 – 1er août 1918). 2e section : 1 vol. (16 octobre 1917 – 2 janvier 1919).

Hôpital d’évacuation n°4 (HOE), cart. n°925 – 1ère section : 5 vol. (21 avril 1917 – 22 décembre 1918).

Hôpital d’évacuation n°5 (HOE), cart. n°925 - 1ère section : 1 vol. (28 septembre 1914 – 5 octobre 1914) ; 5 vol. (1er décembre 1914 – 24 septembre 1918)[lacune, octobre 1917].

Hôpital d’évacuation n°6 (HOE), cart. n°925 – 1ère section : 3 vol. (5 août 1914 – 1er janvier 1919).

Hôpital d’évacuation n°7 (HOE), cart. n°926 – 1ère section : 3 vol. (4 août 1914 – 17 janvier 1919).

Hôpital d’évacuation n°8 (HOE), cart. n°926 – 1ère section : 3 vol. (2 août 1914 – 7 janvier 1919) ; Annexe, 3 vol. (1er juillet 1915 – 11 février 1919). 2e section : 1 vol. (27 mars 1917 – 5 mai 1918) ; Annexe, 2 vol. (26 août 1914 – 1er avril 1917).

Hôpital d’évacuation n°9 (HOE), cart. n°926 – 1ère section : 3 vol. (2 août 1914 – 15 janvier 1919).

Hôpital d’évacuation n°10 (HOE), cart. n°926 – 1 vol. (6 janvier 1918 – 31 janvier 1919).

Hôpital d’évacuation n°11 (HOE), cart. n°926 – 2 vol. (4 août 1914 – 31 décembre 1917) ; pièces annexes (7 août 1914 – 3 mai 1915). CH de Fleury : 2 vol. (25 avril 1916 – 15 février 1919).

Hôpital d’évacuation n°12 (HOE) – Manque

Hôpital d’évacuation n°13 (HOE), cart. 926 – 1 vol. (4 août 1914 – 3 janvier 1919) [pièce complémentaire : 25 février 1917 – 25 février 1918].

L'auteur a servi dans cet HOE : Mgr Alexandre PONCET. Un prêtre aux armées 1914-1918. Louviers : Ysec, 2011, 150 p.

Hôpital d’évacuation n°14 (HOE), cart. n°927 – 1ère section : 2 vol. (5 août 1914 – 31 décembre 1917). 2e échelon : 3 vol. (12 août 1914 – 1er février 1919)

Hôpital d’évacuation n°15 (HOE), cart. n°927 – 6 vol. (3 août 1914 – 30 novembre 1918) [lacunes : 15 janvier-29 mars 1915 et 22 juin-31 juillet 1916]

Hôpital d’évacuation n°16 (HOE), cart. n°927 – 4 vol. (3 août 1914 – 31 décembre 1917) et complément, 1 vol. (6 avril-16 septembre 1915).

Hôpital d’évacuation n°17 (HOE), cart. n°927 - 1 vol. (2 août 1914 – 6 février 1919).

Hôpital d’évacuation n°18 (HOE), cart. n°927 – 1 vol. (2 août 1914 – 7 décembre 1916).

Hôpital d’évacuation n°20 (HOE), cart. n°927 – 1ère section : 1 vol. (21 février 1916 – 1er février 1919). 2e échelon : 1 vol. (13 août 1914 – 21 décembre 1915).

Hôpital d’évacuation n°21 (HOE), cart. n°927 – 1ère section : 5 vol. (3 août 1914 – 16 novembre 1915) et dossiers (1er juillet – 4 août 1915).

Hôpital d’évacuation n°22 (HOE), cart. n°927 – 2 vol. (2 août 1914 – 31 décembre 1916) et annexe (30 août – 19 septembre 1914).

Hôpital d’évacuation n°31 (HOE), cart. n°928 – 1ère section : 3 vol. (3 août 1914 – 7 décembre 1917). 2e section : 5 vol. (18 mars 1915 – 8 janvier 1919), double et variante (18 mars – 23 juillet 1915 et 25 octobre 1916 – 12 avril 1917).

Hôpital d’évacuation n°32 (HOE) – Manque

Hôpital d’évacuation n°33 (HOE), cart. n°928 – 1ère section : 3 vol. (3 août 1914 – 30 avril 1919). 2e section : 1 vol. (21 juillet 1917 – 1er janvier 1919).

Hôpital d’évacuation n°34 (HOE), cart. n°928 – 1ère section : 3 vol. (3 août 1914 – 31 décembre 1918). 2e section : 3 vol. (8 septembre 1914 – 3 juillet 1917).

Hôpital d’évacuation n°35 (HOE), cart. 928 et 929 – 1ère section : 7 vol. (2 août 1914 – 11 juillet 1917) – double et complément, 6 vol. (26 mai 1915 – 20 avril 1918) – minute, 2 vol. (2 août 1914 – 31 janvier 1916). 2e section : 1 vol. (1er juillet 1917 – 6 février 1919).

Hôpital d’évacuation n°36 (HOE), cart. 929 – 1ère section : 3 vol. (11 août 1914 – 31 décembre 1918). 2e section : 2 vol. (24 avril 1915 – 1er juin 1917).

Hôpital d’évacuation n°1 [4e armée] puis n°37 (HOE), cart. n°929 – 1ère section : 1 vol. (3 août 1914 – 24 février 1919). 2e section : 1 vol. (20 mai 1916 – 31 mars 1918).

Hôpital d’évacuation n°2 [de Châlons] puis n°38 (HOE), cart. n°929 – 2 vol. (4 août 1914 – 6 janvier 1919) [lacune : 1er janvier - 5 novembre 1917].

Hôpital d’évacuation de l’armée des Alpes, devenu V de la 9e armée, puis n°39 (HOE), cart. n°929 et 930 – 1ère section : 2 vol. (2 août 1914 – octobre 1915). 2e section : 1 vol. (27 septembre 1915 – octobre 1915).

Hôpital d’évacuation n°51 (HOE) - Manque

Hôpital d’évacuation de Saint-Gilles, puis n°52 (HOE), cart. n°929 – 1 vol. (10 mai 1916 – 15 avril 1919).

Hôpital d’évacuation de Tramery, puis n°53 (HOE), cart. n°929 – 1 vol. (1er mai 1918 – 22 mars 1919).

Hôpital d’évacuation de Morvillars, puis n°54 (HOE), cart. n°929 – 2 vol. (20 février 1917 – 1er février 1919).

Autres HOE (liste non exhaustive) :

Hôpital d’évacuation de Bussang, cart. n°880 – 1 vol. (29 octobre 1915 – 31 décembre 1917).

Hôpital d’évacuation de Canly, cart. n°930 – 1 vol. (6 juin – 13 octobre 1918).

Hôpital d’évacuation de la Chapelle-sous-Rougemont, cart. n°930 – 2 vol. (14 avril 1917 – 26 juin 1918) et minute, 1 vol. (14 avril 1917 – 25 juin 1918).

Hôpital d’évacuation d’Estrées Saint-Denis, cart. n°930 – 1 vol. (1er janvier 1917 – 5 août 1918)

Hôpital d’évacuation de Giromagny, cart. n°930 – 1 vol. (12 novembre 1917 – 1er février 1919).

Hôpital d’évacuation de Lespinoy, cart. n°930 – 1 vol. (10 septembre – 31 décembre 1916).

Hôpital d’évacuation de Petit-Croix, cart. n°930 – 3 vol. (2 mars 1917 – 23 juillet 1918) et copie (2 mars 1917 – 7 janvier 1918).

Hôpital d’évacuation de la Veuve, cart. n°930 – 1 vol. (27 mars 1917 – 12 février 1919)

Ne sont pas compris : les HOE de l’armée d’Orient, les HOE des lignes de communications de l’armée d’Orient et les ambulances faisant fonction d’HOE qui seront pris en compte dans le tome 5 des Hôpitaux militaires dans la Guerre 1914-1918, à paraître.
Fin

JMO au Val-de-Grâce : 1ère partie et 2e partie.

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JMO des HOPITAUX MILITAIRES (1914-1918) au VAL-DE-GRACE

22 Décembre 2012 , Rédigé par FO Publié dans #recherche archives documentation

Les journaux des marches et opérations (JMO) des hôpitaux complémentaires d'armée au Val-de-Grâce

2e partie

Les hôpitaux complémentaires d’armée sont des hôpitaux complémentaires (HC), au nombre de 69 en juillet 1918, mis sur pied par le service de santé militaire dans la zone des armées. Ils fonctionnent, du point de vue administratif, selon les instructions particulières relatives au service de santé en campagne (BOEM 83ter). Suivant l’évolution des opérations, le passage des formations hospitalières s’effectue d’une zone à l’autre - de l’intérieur ou de l’arrière à celle des armées - les hôpitaux sont alors appelés complémentaires (HC) ou complémentaires d’armée (HCA). Ce changement de terminologie implique, pour les différentes comptabilités, y compris pour celle des hospitalisés, la mise en place de nouveaux registres ou bulletins 46C du service en campagne.

Dans les faits, ce sont de nouvelles formations hospitalières qui sont mises sur pied. Le jour de passage comptable (des effectifs, du matériel, des hospitalisés, des fonds, etc.) appartient à la nouvelle formation. Le lendemain, les documents comptables de l’ancienne formation qui ne doivent plus être utilisés sont clôturés et versés aux archives des directions régionales du service de santé. Important : Les chercheurs doivent être attentifs à cette situation ; ainsi, dans une même infrastructure, un hôpital complémentaire (HC) peut cacher un hôpital complémentaire d’armée (HCA) et réciproquement.

Les JMO des HCA au Val-de-Grâce, sont peu nombreux et classés pour quelques-uns, d’après un inventaire ancien, à leur numérotation d’hôpital complémentaire. Ils ne sont pas numérisés. Il serait préférable de les classer par localisation, à l’instar des formations détaillées de la 1ère partie. Je me propose ultérieurement de compléter cette liste.

HCA n°2, 1 vol., 1er mars 1918 – 1er janvier 1919, cart. n°931.

HC n°19 [HCA n°9], de la Miséricorde de Toul, 1 vol., 3 août 1914 – 1er mars 1918, cart. n°933.

HC n°22 [HCA n°12] ex-HC 22 de Toul, annexe Bautzen, 1 vol., 6 septembre 1914 – 11 juillet 1917, cart. n°931.

HCA n°24, 1 vol., 25 juin 1917 (début le 25 mars 1918) – 3 juin 1918, cart. n°931.

HCA [n°27 ou 32] de Rambervillers, 1 vol., 1er février 1916 – 1er février 1918, cart. n°931.

HCA n°38, ex-HC n°1 de Beauvais, 1 vol., 27 mars 1918 – 30 juin 1918, cart. n°931.

HCA n°47, ex-HC n°11 d’Ognon, 1 vol., 1er avril 1918 – 7 février 1919, cart. n°931.

HCA n°49, ex-HC n°42 de Pierrefonds, 1 vol., 1er avril 1918 – 10 septembre 1918, cart. n°931.

HCA n°50, liste des hospitalisés, 28 août – 3 septembre 1914, cart. n°931.

HCA n°53, 1 vol., 20 mars 1916 – 31 janvier 1918, cart. n°931.

HCA n°61, 1 vol., 1er juillet – 31 décembre 1918, cart. n°931.

HCA n°64, ex-HC n°17 de Châlons, 1 vol., 27 juillet 1918 – 1er janvier 1919, cart. n°931.

(à suivre)
3e partie : les JMO des hôpitaux d'évacuation (HOE) au Val-de-Grâce
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JMO des HOPITAUX MILITAIRES (1914-1918) au VAL-DE-GRACE

21 Décembre 2012 , Rédigé par FO Publié dans #recherche archives documentation

Les journaux des marches et opérations (JMO) des hôpitaux temporaires (1914-1918) au Val-de-Grâce à Paris.

1ère Partie

Les chercheurs connaissent les 18453 JMO des unités militaires de la Guerre de 1914-1918 mis en ligne depuis 2008 sur internet : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/spip.php?article59. Dans ce fonds important de la sous-série 26N du service historique de la défense vous y trouverez les services de santé de bataillon, de régiment, les JMO des chefs du service de santé des grandes unités (Armée, corps d’armée, division) ainsi que les groupes sanitaires de niveau division (GBD) et de corps d’armée (GBC). A ce niveau de recherche, l’on y recherchera vainement les JMO des ambulances et des hôpitaux ; ceux-ci sont conservés au Val-de-Grâce, à Paris, au centre de documentation du musée du service de santé des armées qui se situe 1 place Alphonse-Laveran dans le 5e arrondissement. Ceci étant dit, il est nécessaire de préciser les choses.

Qu'est-ce qu'un JMO ?

« Dépourvus de tout commentaire ou appréciation personnelle, en conformité avec l'instruction du 5 décembre 1874 qui les a institués, les JMO devaient servir à la rédaction d'un historique d'ensemble, destiné à maintenir la valeur morale de l'armée. Ils n'en restent pas moins, malgré leur rigueur administrative et leur sécheresse parfois, une source irremplaçable sur la vie et la mort de millions de Français. Une certaine uniformité est visible dans la présentation des journaux, car les cahiers ont souvent un format identique, avec la date portée dans la marge gauche. Quelques cahiers percés d'une balle ou d'un éclat sont là pour rappeler que les journaux étaient rédigés sur le vif et en première ligne, quand ils ne l'étaient pas dans le secret des états-majors. La tenue des JMO, confiée à des officiers qui pouvaient en déléguer la rédaction à des sous-officiers, était en effet prescrite aux états-majors aussi bien qu'aux corps de troupes. Revêtu d'un caractère officiel, répondant à une démarche d'authentification des faits et notamment des actions d'éclat, le journal de marches constitue, en un sobre condensé des événements, un récit aussi objectif et précis que possible des combats. » (Mémoiredeshommes).

Les JMO conservés au Val-de-Grâce…

ne concernent que les formations sanitaires affectées aux armées : ambulances, trains sanitaires, hôpitaux d’évacuation (HOE), hôpitaux complémentaires d’armée… et hormis quelques « exceptions » c’est tout ! Vous n’y trouverez aucun JMO d’hôpital d’infrastructure, de la zone de l’Intérieur : hôpitaux temporaires puis complémentaires, auxiliaires ou bénévoles. Il n’y en a pas… enfin, presque pas.

De rares exceptions

Dans toute règle il existe des exceptions. Le Val de Grâce conserve ces JMO « exceptionnels » entrés par voie « anormale », lesquels ont été classés à la suite des JMO ouverts réglementairement et visés périodiquement dans le cadre de l’instruction de 1874 et de ses modificatifs. Ils sont rédigés sur différents supports : JMO de type 1874 ou cahiers d’écoliers de dimensions diverses. Je me propose de vous en donner une liste la plus exhaustive possible qui sera mise à jour et ultérieurement complétée par les JMO des autres formations hospitalières « réglementaires » de la guerre de 1914-1918 : Hôpitaux complémentaires d’armée (HCA) et hôpitaux d’évacuation (HOE). Ces JMO, non numérisés, sont à consulter sur place, au Val-de-Grâce (accès au centre de documentation du musée sur rendez-vous). http://www.ecole-valdegrace.sante.defense.gouv.fr/organismes-rattaches/musee-du-service-de-sante-des-armees

La recherche sur les hôpitaux de l’arrière en l’absence de JMO.

Cette recherche se fait quasi-exclusivement au Val-de-Grâce pour la période de 1914-1918. Le centre de documentation est en effet d’une richesse inégalée en matière d’Histoire hospitalière de la Grande Guerre. Vous y trouverez la réponse à votre question et bien plus encore… si vous êtes persévérant et… parisien. Ou, comme moi, si vous fréquentez les lieux depuis trente ans.

L’archiviste du musée qui reçoit, de un à quatre chercheurs, dans un cadre accueillant et convivial, effectue la mise à disposition des documents, « sur mesure », à la grande satisfaction des lecteurs qui y sont orientés tout au long de leur recherche.

Les JMO des « hôpitaux » au Val-de-Grâce (1ère partie) : les hôpitaux « temporaires », sédentaires et les centres hospitaliers.

Baccarat (Meurthe-et-Moselle) – Service de santé de la place, 1 vol., 31 juillet – 24 août 1914, cart. n°935.

Bar-le-Duc (Meuse) – Hôpital central, 2 vol., 12 octobre 1914 - 31 mai 1917, cart. n°933.

Chantilly (Oise) – et centre hospitalier d’Ecouen, 1 vol., Chantilly, 25 septembre - 15 novembre 1918, cart. n°934.

Contrexéville (Vosges) – Centre hospitalier, 1 vol., 9 janvier 1915 – 25 novembre 1916, cart. n°934.

Ecouen (Val-d’Oise) - et centre hospitalier de Chantilly, 1 vol. Ecouen, 14 juin - 24 septembre 1918, cart. n°934.

Givet (Ardennes) – hôpital militaire, 1 vol., (5 août 1914 - 18 novembre 1915) et cahier d’enregistrement du courrier (1913-1914), cart. n°933.

Joinville (Val-de-Marne) – hôpital temporaire, 1 vol., 14 août 1916 - 4 août 1917, cart. n°932.

Jussey (Haute-Saône) – hôpital temporaire, 1 vol., 5 janvier - 31 décembre 1916, cart. n°932.

Lutra-Mytilène (Grèce, armée d’Orient) – 1 vol., 1er novembre 1915 – 8 février 1919, cart. n°932.

Mandres (Val-de-Marne) – 1 vol., 7 avril – 24 juin 1915, cart. n°932.

Montevrain (Seine-et-Marne) – Hôpital temporaire d’Alembert, inclus in fine : dépôt d’éclopés de Nogent-le-Perreux, 1 vol., 15 février 1915 – 1er juillet 1916, cart. n°932.

Nogent-le-Perreux – dépôt d’éclopés, 27 juin – 2 août 1916, voir Montévrain, cart. n°932.

Perreux (Val-de-Marne) – Hôpital temporaire, 1 vol., 2 août – 1er novembre 1916, cart. n°932

Poperinghe (Belgique) – Hôpital temporaire, 1 vol., 16 janvier – 7 mai 1915, cart. n° 932.

Salonique (Grèce, armée d’Orient) – Hôpital n°7, 9 vol., 3 mars 1915 - 31 décembre 1918, cart. n°932.

Salonique (Grèce, armée d’Orient) – Hôpital n°12, 1 vol., 6 janvier – 1er juillet 1919, cart. n°932.

Scey-sur-Saône (Haute-Saône) – Hôpital d’armée, centre neuro-psychiatrique du DAL puis centre neuro-psychiatrique, 2 vol., 20 avril 1916 – 15 mai 1917, cart. n°933.

Souilly (Meuse) – Centre hospitalier, 1 vol., 22 août 1916 – 20 avril 1917, cart. n°934.

Steenworde (Belgique) – Hôpital chirurgical, 1 vol., 8 mai – 30 juin 1915, cart. n°933.

Thillot le (Vosges) – Hôpital temporaire, 1 vol., 5 août 1915 – 1er août 1916, cart. n°932.

Toul (Meurthe-et-Moselle) – Hôpital militaire, 1 vol., 1er mars 1918 – 1er janvier 1919, cart. n°933.

Vittel (Vosges) – Centre hospitalier, 1 vol., 1er janvier 1915 – 23 janvier 1918, cart. n°934.

(à suivre)
2e partie : Les hôpitaux complémentaires d'armée (HCA).

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Hôpitaux et Cinéma

21 Décembre 2012 , Rédigé par FO Publié dans #varia

VARIA

En cette année 1915 les sociétés cinématographiques se mobilisent au profit des blessés hospitalisés...
Hôpitaux et Cinéma
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Livre - Je vous écris de mon hôpital...

19 Décembre 2012 , Rédigé par FO Publié dans #varia, #les hommes

Livre - Je vous écris de mon hôpital...

SORTIE 2011

Christophe Dargère (textes recueillis et commentés, par). Je vous écris de mon hôpital… Destins croisés de six soldats ligériens blessés pendant la Grande Guerre. Paris : éd. L’Harmattan, 2011, 157 p.

L’auteur, docteur en sociologie, chargé de cours au centre universitaire de Roanne nous propose un ouvrage très émouvant dans lequel six blessés racontent l’horreur du front au quotidien dans une étude qui a été réalisée à partir de la correspondance brute de six militaires ligériens dont un officier. Dans une première partie intitulée « Les hommes et leurs destins », il nous présente ces « héros » communs de la Grande Guerre : Etienne Chabry, du 2e Zouaves (blessé en 1914), Joseph Duperron, du 278e régiment d’infanterie (RI) de Limoges (blessé en 1917), Pierre Montélimard, du 216e RI de Monbrison (blessé en 1914), Benoît Desseigné du 5e régiment d’infanterie coloniale de Lyon (blessé en 1917), Joseph Devaux du 104e RI de Roanne (Malade ou blessé, en 1915, 1916, 1917 et 1918) et Louis Brunel du 86e RI du Puy (blessé en 1916). Il nous relate, à l’aide des lettres adressées aux familles, leurs heures d’angoisse feutrée pour ne pas inquiéter leurs proches, leur cheminement parfois chaotique (Desseigné) jusqu’à l’hôpital. La seconde partie, qui traite de l’univers hospitalier, permet à notre blessé de retrouver son « visage de l’arrière » en abandonnant celui des « zombies du front ». C’est l’occasion pour l’auteur de s’essayer à des « Réflexions sur l’hospitalisation du Poilu » qui ne nous apprennent que bien peu en matière d’histoire hospitalière sur les différents sites fréquentés, d’Evreux à Paderborn en Westphalie, mais qui se révèlent toutes de finesse dans la compréhension du Poilu, pour lequel, la blessure, la « bonne blessure » est un véritable « brevet de vie » lui permettant de savourer son séjour à l’hôpital, le « seul endroit où l’on se retrouve bien »… Dans sa préface, Jean-Paul Nomade, l’éminent historien roannais, souligne, en toute amitié, que Christophe Dargère l’historien s’est effacé devant Christophe Dargère le sociologue. Je suis bien de son avis !

Réflexions sur l’hospitalisation du Poilu (p. 132-146) : Redécouvrir l’univers féminin – Propreté et reconstruction identitaire – Panser les plaies et les traumatismes – le symbole des draps blancs – la douceur du lit – Le lit, un espace refuge – le lit un espace privé.

Hôpitaux et ambulances d’accueil : hôpital temporaire n°5 d’Evreux – hôpital auxiliaire n°5 de Saint-Genis-Laval – lazarett du Kaiserhof de Paderborn (Westphalie, All.) – hôpital temporaire n°25 de Nantes – hôpital de Plessé, « où le soir on va dans les villages boire quelques petits canons pour nous remettre la tête rouge, elle était devenue pâle » - hôpital complémentaire n°10, casino de Vittel – hôpital mixte de Tulle – hôpital complémentaire n°34 de Tulle – hôpital militaire de Chambéry et ses annexes Jules-Ferry et du Bocage – hôpitaux d’évacuation (HOE) de Courlandon (1917) et de Mont-Notre-Dame (1918) et les ambulances n°222 de Tricot et n°12/1 de Cayeux en Santerre.

La Guerre de 1914-1918 : +

Histoire du service de santé militaire : +

Histoire locale :

Histoire hospitalière :

Le blessé, l'aventure humaine : +++

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YONNE - Hôpitaux militaires (1914-1918)

14 Décembre 2012 , Rédigé par François OLIER Publié dans #les hopitaux

Yonne – Hôpitaux militaires, tome 2, p. 215-225

Aisy-sur-Armancon — Ancy-le-Franc — Auxerre — Avallon — Bleneau — Brienon-sur-Armancon — Chablis — Châtel-Censoir — Chemilly — Coulanges-sur-Yonne — Courson-les-Carrières — Cravant — Dixmont — Flogny-la-Chapelle — Gigny — Joigny — Nuits-sur-Ravière — Passy-sur-Yonne — Pontigny — Sainpuits — Saint-Fargeau — Saint-Florentin — Saint-Léger-Vauban — Seignelay — Sennevoy-le-Bas — Sens — Theils-sur-Vanne — Tonnerre — Toucy — Vermenton — Villeblevin — Villeneuve-l’Archevêque — Villeneuve-la-Guyard — Villeneuve-sur-Yonne.

 

Chaque commune étudiée comprend une notice hospitalière et un indice hopmil, auxquels s’ajoutent, suivant les formations, des développements historiques, un descriptif de marques postales sanitaires connues, des illustrations : photographies, cartes postales et marques sanitaires.

Photo : L'hôpital auxiliaire n° 107 d'Auxerre. (Coll. Jean-Luc Quénec'hdu)

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SEINE-et-MARNE - Hôpitaux militaires (1914-1918)

14 Décembre 2012

Seine-et-Marne- Hôpitaux militaires, tome 2, p. 197-214

Avon — Barbizon — Bernay-Vilbert — Bois-le-Roi — Bourron-Marlotte — Bray-sur-Seine — Brie-Comte-Robert — Cannes-Ecluses — Champagné-sur-Seine — Champeaux — Champs-sur-Marne — Chapelle-la-Reine (la) — Claye-Souilly — Coulommiers — Croix-Saint-Jacques (la) — Dammarie-les-Lys — Echouboulains — Ferrieres-en-Brie — Ferté-Gaucher (la) — Ferté-sous-Jouarre (la) — Fleury-en-Bière — Fontainebleau — Forges — Gretz-Armainvilliers — Gurcy-le-Châtel — Héricy-sur-Seine — Jouarre — Jouy-sur-Morin — Juilly-sur-Marne — Lagny-sur-Marne — Luzancy — Maincy — Mary-sur-Marne — Mauperthuis — Meaux — Melun — Mitry-Méry – Montereau-Fault-Yonne — Montevrain — Moret-les-Sablons — Moret-sur-Loing — Mormant — Nangis — Nemours — Noisiel — Ozoir-la-Ferrière — Pringy-par-Ponthierry — Provins — Quincy-Segy — Rubelles — Seine-Port — Thomery — Tournan-en-Brie — Villiers-Saint-Georges.

Chaque commune étudiée comprend une notice hospitalière et un indice hopmil, auxquels s’ajoutent, suivant les formations, des développements historiques, un descriptif de marques postales sanitaires connues, des illustrations : photographies, cartes postales et marques sanitaires.

Photo : Hôpital auxiliaire n°17 de Héricy-sur-Seine. Le départ des hospitalisés, en route pour la gare... (Coll. Musée du service de santé des armées, DR).

 

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SAONE-et-LOIRE - Hôpitaux militaires (1914-1918)

14 Décembre 2012

Saône-et-loire – Hôpitaux militaires, tome 2, p. 297-307

Autun — Beaurepaire-en-Bresse — Bourbon-Lancy — Brandon — Chagny — Chalon-sur-Saône — Chanes — Charolles — Chauffailles — Chissey-lès-Macon — Clayette (la) — Cluny — Couches-les-Mines — Creusot (le) — Cuisery — Digoin — Epinac — Etang-sur-Arroux — Flacey-en-Bresse — Givry — Gueugnon — Issy-l’Evêque — Joncy — Louhans — Macon — Marcigny — Montceau-les-Mines — Montcenis — Montchanin-les-Mines — Monthelon — Montpont-en-Bresse — Paray-le-Monial — Pierre-de-Bresse — Prisse — Saint-Ambreuil — Saint-Christophe-en-Brionnais — Saint-Germain-du-Plain — Saint-Jean-le-Priche — Saint-Marcel-lès-Chalon — Saint-Martin-Belle-Roche — Saint-Point — Salornay-sur-Guye — Senecey-le-Grand — Toulon-sur-Arroux — Tournus — Varennes-Saint-Sauveur — Verdun-sur-le-Doubs.

 

Note - Complément à apporter, t.2, p. 307 :

Verdun-sur-le-Doubs - OAC, Ab - Local paroissial, place du Faubourg - 20 lits - ouverture, c. 10 août 1914 - fermeture, c. 24 novembre 1916. Remerciements à M. Laurent Gouzillon, "1914-1918, Vivre en Verdunois", Trois Rivières, Groupe d'études historiques de Verdun-sur-le-Doubs, n°82/2014, 84 p.

 

chaque commune étudiée comprend une notice hospitalière et un indice hopmil, auxquels s’ajoutent, suivant les formations, des développements historiques, un descriptif de marques postales sanitaires connues, des illustrations : photographies, cartes postales et marques sanitaires.

Photo : L'hôpital complémentaire n° 2 de Chalon-sur-Saône, salle de blessés allemands (Coll. Jean-Luc Quénec'hdu).

Mise à jour : 11 novembre 2020
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